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Mardi 21 mai 2024 - 20h


Théâtre de Charleville-Mézières

Ana Carla Maza " Bahia"

ana carla maza
photo José Fradé

Ana Carla Maza : violoncelle, voix
Norman Peplow : piano
Marc Ayza : batterie
Luis Guerra : percussions

 

 

en partenariat avec le Théâtre de Charleville-Mézières

tcm

Tarif plein : 21 €- Adhérents CAJ, abonnés : 18 €, étudiants, demandeurs d'emploi, -de 18 ans : 13 €

Réservations : Théâtre de Charleville-Mézières

tel : 03 24 32 44 50

réservations en ligne :
https://web.digitick.com/ana-carla-maza-quartet-concert-theatre-de-charleville-mezieres-nn-21-mai-2024-css5-thcharlevillemezieres-pg101-ri9694479.html

Ana Carla Maza Quartet – Bahia


Rayonnante, Ana Carla Maza fait corps avec son violoncelle pour dessiner sa Havane natale.
Voix suave, pizzicati percussifs et archet aérien : la violoncelliste, subtilement entourée d’un trio jazz, déploie une gamme de couleurs et de sensations, alternant caresses et tempêtes. Ana Carla Maza crée un univers ouvert alliant jazz, musique classique et couleurs de l’Amérique latine.

Après le succès de son album solo « La Flor » et plus de 150 concerts en Europe Ana Carla Maza revient cette fois cette fois-ci accompagnée de musiciens pour un nouvel album, hommage au quartier Bahia de La Havane où elle a passé sa petite enfance.

Ana Carla Maza signe les compositions, créant un univers musical ouvert alliant jazz, musique classique et couleurs latino-américaines. Les sonorités cubaines et brésiliennes sont en effet à l'honneur dans « Bahia », où les rythmes comme le tango, le huayno, le son cubain ou la bossa nova se rassemblent pour dessiner un monde de sensibilité et d'espoir.


«... de Bahia, nom de son quartier natal à La Havane, elle fait ainsi rejaillir les accents cosmopolites et populaires en espagnol et en français. Entre échos de Bossa et rumeurs de tango piazzollien, souvenirs cubains de « cafés partagés à l’improviste, sans être pressé par le temps », et romance épistolaire parisienne improvisée à la terrasse du Saint-Régis (Petit Français), elle butine sa latinité d’une voix en fleur et l’archet aussi mutin que véhément, – et, pour la première fois, un piano. » Télérama – Anne Berthod

vidéos :

 

https://www.youtube.com/watch?v=qKab29VV3eY

https://www.youtube.com/watch?v=etJteYwpeGI&t=1097s