Réservations:

Music Leader Charleville

03 24 33 05 27

à partir du 10 septembre

tarif plein : 14 €

adhérents CAJ : 11 €

étudiants, - de 18ans,
demandeurs d'emploi : 7 €

Mardi 21 septembre 2010

20h30

Auditorium
Conservatoire à Rayonnement Départemental.
Rue Mme de Sévigné
CHARLEVILLE-MEZIERES


Géraldine Laurent

"Time Out Trio"

 

Géraldine Laurent : saxophone alto
Yoni Zelnik : contrebasse
Laurent Bataille : batterie



Présentation sur le site du label
Dreyfus Jazz

l'article de Citizen Jazz

 

vidéo sur Utube

vidéo sur datlymotion


photo Marc Rouve



Géraldine Laurent
"Time Out Trio
"


Prix Django Reinhardt
Académie du Jazz 2008


Victoire du jazz
Révélation instrumentale de l’année 2008

Géraldine Laurent est une musicienne d’aujourd’hui, une improvisatrice de son temps. Un temps composé tout à la fois de passé et de présent, inséparablement personnel et collectif.
Son premier disque en est la preuve. La jeune altiste fascine par son jeu incessant entre mémoire vive du jazz (Rollins, Dolphy, Mingus…) et urgence de l’instant, tradition et invention, racines et originalité, rigueur et fougue.
Avec ses deux stimulants complices, elle fait montre de générosité sans fond, d’une belle énergie tant physique que mentale. Mise en place impeccable, swing ébouriffant, sonorité pleine, charnue et fiévreuse, phrasé d’une fluidité naturellement lyrique, prise de risque permanente, maîtrise égale du rythme, de l’harmonie et de la mélodie, joie de jouer et de chanter dans son alto…

« Grâce à Géraldine Laurent, nous en sommes convaincus : le jazz est une musique d’avenir.
Je persiste et signe : le génie est poète et Géraldine Laurent est poète. Géraldine peut tout. Même l’impossible. »

Jean- Louis Chautemps, Jazzman

« Son alto, avec la précision d’une baguette de sourcier, fait jaillir des geysers inespérés. Merci, Géraldine. »
Philippe Carles Jazz Magazine

« Géraldine déborde d’idées, avec une maîtrise égale du rythme, de l’harmonie, de la mélodie, ce qui est très rare. »
Télérama

Biographie :

Originaire de Niort où elle est née en 1975, Géraldine a grandi dans une famille musicienne. Elle commence par l’étude du piano, mais choisit à 12 ans le saxophone

À partir de 1999, elle se produit sous son nom en quartet et tourne un peu dans sa région, puis intègre différents groupes. En 2005, elle se décide à « monter » à Paris pour promouvoir les deux trios qu’elle a sur le feu. C’est cette année là, lors d’un concert à Calvi, que Géraldine attire l’attention de plusieurs journalistes (Philippe Carles, Pascal Anquetil, Claude Carrière...).

L’onde de choc est immédiate. En 2006, elle se voit récompensée par un Django d’Or Jeune Talent, et gagne le prix Révélation du festival Jazz à Juan.

Le « Time Out  Trio » qu’elle a formé avec Laurent Bataille (batterie) et Yoni Zelnik (contrebasse) enchante AldoRomano et Francis Dreyfus qui décident de produire son premier disque sous son nom pour Dreyfus Jazz, qui sort en Septembre 2007.

En 2008, Géraldine rejoint Aldo au sein du nouveau quartet du batteur, aux côtés d’Henri Texier et Mauro Negri, pour l'enregistrement de l'album "Just jazz " (Dreyfus Jazz)

La même année, elle est nommée dans deux catégories aux Victoires du Jazz, et remporte le trophée dans la catégorie Révélation instrumentale de l’année (Prix Franck Ténot). Elle se voit également décerner le prix Django Reinhardt (Musicien de l’année) par l’Académie du Jazz.

La saxophoniste prépare actuellement son second album en Quartet, avec Pierre de Bethmann, Franck Agulhon et Yoni Zelnik, dont la sortie est prévue courant 2010 (Dreyfus Jazz)

 

La presse :

"Elle est saisissante dès le premier morceau, Géraldine Laurent. Autumn Nocturne paraît comme un hommage à Sonny Rollins, dont on entend quelque chose du phrasé dans la façon impétueuse de la saxophoniste de se placer sur le temps avec une sûreté confondante, en acrobate. La trentaine, venue de Niort, Géraldine Laurent a fait des études de piano classique avant de s'emparer du saxophone comme une conquête.
Premier disque, audace tranquille, douceur du son, intensité du jeu, aucune concession à l'air du temps : du jazz, rien que du jazz, en trio nu, sax alto, contrebasse, batterie. Les harmonies, Géraldine les a dans la tête, et il faut voir comme elle passe les accords, sautant les barres de mesure comme une tendre athlète, fermement soutenue par les lignes intelligentes de Yoni Zelnik et la batterie de Laurent Bataille. On a l'impression que c'est elle qui entraîne la rythmique.
Dix titres où alternent les standards pas trop usés (Skylark, I fall in love too easily, Love Letters) et les morceaux de jazz qui délimitent un champ d'invention magnétique : Wayne Shorter (Lester Left Town), Ornette Coleman (Rejoicing), Charles Mingus (Fables of Faubus) et un thème de Géraldine (A quiet).
Pour tenir l'intérêt et même susciter l'enthousiasme pendant quarante-sept minutes dans cette formule austère, il faut de la personnalité. Géraldine Laurent en a à revendre. Et ce n'est qu'un début. La jeune femme n'a pas fini de nous passionner."

Michel Contat Télérama 20 octobre 2007


Jazzmann Octobre 2007


JazzMagazine Octobre 2007

 





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