Lorenzo Di Maio "Ruby" Quartet

Lorenzo Di Maio est incontestablement l’un des guitaristes les plus demandés de la scène belge : on le retrouve au sein de nombreuses formations jazz, mais aussi dans la sphère pop, electro ou chanson.
Pour son troisième album, Lorenzo Di Maio réunit un line-up de haut vol à l’instrumentation originale mêlant acoustique et électronique."Ruby" nous plonge dans une ambiance sonore singulière où les nappes électroniques se mêlent à la clarté et la brillance du piano acoustique, où la chaleur des synthés analogiques enveloppe les jeux de guitares, tantôt clairs, tantôt saturés. La mélodie est au centre de cette musique  qui alterne passages évidents, simples et spontanés et moments plus complexes, plus écrits.
Lorenzo Di Maio, musicien éclectique et curieux de nouvelles sonorités, signe les 10 compositions en puisant son inspiration chez Aaron Parks, Ben Wendel, Brad Mehldau, Gilad Hekselman ou encore dans les musiques de film d'Ennio Moricone.

Troisième album pour le guitariste Lorenzo Di Maio qui réunit un line-up de haut vol à l’instrumentation originale mêlant acoustique et électronique. « Ruby » puise dans la musique indé et la musique de film au profit d’un jazz mélodique traversé par une nostalgie presque palpable.
Lorenzo Di Maio est incontestablement l’un des guitaristes les plus demandés de la scène belge : on le retrouve au sein de nombreuses formations jazz (Antoine Pierre, Jean-Paul Estiévenart, Christel Wautier, Fabrice Alleman, …) mais aussi dans la sphère pop, electro ou chanson (citons entre autres, la chanteuse Elia Rose, Next.Ape ou encore Greg Houben – un belge à Rio)
Après deux premiers albums à son nom chez Igloo («Black Rainbow» en 2016 et « Arco » en 2021), un nouveau projet en quartet réunissant la crème de la nouvelle scène du jazz : Wajdi Riahi au piano et au rhodes, Cédric Raymond (déjà présent sur son premier opus) au prophet et au moog et Pierre Hurty à la batterie. Avec ce line-up à l’instrumentation originale, Lorenzo Di Maio s’affirme d’avantage et sort des sentiers battus.
Le guitariste, qui signe les 10 compositions, puise son inspiration chez Aaron Parks, Ben Wendel, Brad Mehldau, Gilad Hekselman ou encore dans les musiques de film de Moricone sans pour autant proposer une musique similaire.
Ruby nous plonge dans une ambiance sonore singulière où les nappes électroniques se mêlent à la clarté et la brillance du piano acoustique, où la chaleur des synthés analogiques enveloppe les jeux de guitares, tantôt clairs, tantôt saturés. La mélodie est au centre de cet album qui alterne passages évidents, simples et spontanés et moments plus complexes, plus écrits.

 

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