Réservations:
Gillet Musique
03 24 33 05 27
à partir
du 4 décembre
Tarif
plein : 13€
Adhérents CAJ : 10€
Etudiants,
demandeurs d'emploi,
-18 ans :
6.50€
|
Mardi 18
décembre 2007
Auditorium ENMD
Simon Spang- Hanssen
"Noctiflore
Quartet "
( Danemark, France )
|
|
|
photo Philippe Cibille
|
|
|
Simon Spang-Hanssen :
saxophones
Franck Tortiller
:
vibraphone, marimba
François Laizeau :
batterie
Yves Torchinsky :
contrebasse
|
|
|
Simon
Spang-Hanssen "Noctiflore Quartet"
Motifs assymétriques, explorations harmoniques, pulsations rythmiques
prédominantes, improvisations ouvertes, swing omniprésent...
La joyeuse liberté du nouveau projet musical du saxophoniste danois
Simon Spang-Hanssen inclut une transgression des frontières, une réjouissante
manière de transcender les styles et les académismes du jazz.
Le saxophoniste a longuement collaboré avec John Tchicai, Nguyen Lê,
Andy Emler, Denis Badault, Richard Bona, Billy Hart.
Il dirige cette fois un quartette de haut niveau qui met en valeur des
musiciens la scène jazz européenne :
Fanck Tortiller , vibraphoniste réputé,
par ailleurs brillant Directeur de l' Orchestre National de Jazz qui
nous a conquis avec son " Close to Heaven", Tribute to Led Zeppelin,
en mai 2006 au Théâtre. Il fut mais également membre du Vienna
Art Orchestra et du Quintet de Claude Barthélémy entre autres...
Francois Laizeau, batteur que l'on a eu
le plaisir d'entendre dans de nombreuses formations, de Magma à l' l'ONJ
( de Denis Dadault puis de Didier Levallet ) , d' Emmanuel Bex à Michel
Legrand , de Francois Couturier à Eddy Louis …
Yves Torchinsky, contrebassiste au groove
puissant, membre de longue date de l' Orchestre de Contrebasses, également
présent à Charleville avec l'ONJ de Tortiller.
|
|
Simon Spang-Hanssen saxophoniste
/ compositeur
1976,
premiers concerts en professionnel avec John Tchicai & "Strange Brothers",
au Danemark, en Allemagne et en Italie.
1978, reçoit le Prix " Ben Webster " , joue
avec e.a. Pierre Doerge, Johhny Dyani, Okay Temiz , Doug Raney, Jan
Kaspersen, The Voodoo Gang..... Crée son premier quartet "Spacetrain"
avec Ben Besiakov, Jesper Lundgaard et Alex Riel.
1983, rejoint le sextet du batteur/compositeur
brésilien Néné, et tourne en France (en première partie de Hermeto
Pascoal).
1985, s'installe à Paris et travaille avec
"Bekummernis" de Luc LeMasne, en quartet avec Hervé Sellin.
1987, création du quartet Badault/Spang-Hanssen
avec Yves Torchinsky et François Laizeau. Rejoint le "Quintet Moutin"
avec Mariane Bitran et Sylvain Beuf et le "Megaoctet" de Andy Emler.
Dans les années suivantes, il joue aussi en duo avec Badault, en trio
avec Tony Rabeson -George Brown -John Betch et Michel Benita/Gilles
Naturel / Gildas Squarnec, avec Elli Medeiros, François Couturier,
Anouar Brahem, Niels Lan Doky, J.F.Jenny-Clarke, Billy Hart, Bojan
Z...
1991, membre de l'ONJ de Denis Badault, enregistre
avec Ramuntcho Matta, se produit dans ses propres formations, avec
entre autres : Nguyén Lé, François Verly, Xavier Desandre, François
Moutin et Richard Bona ...
1994, rejoint le quintet de Edouard Ferlet,
continue ses groupes( Alain Jean-Marie, Simon Goubert), joue dans
"Les Humeurs de Brassens" avec Georgui Kornazov, François Mechali
et Bertrand Renaudin. Est membre des "Contes du Vietnâm" de Nguyên
Lê.
1998, retourne au Danemark où il crée de nombreuses
formations : trio, quartet, quintet et le tentet "Central Earth".
Simon joue avec entre autres : Billy Hart, Thomas Clausen, Jesper
Lundgaard,Fredrik Lundin...
2000, Création de " Ear Witness " avec Linley
Marthe, Felix Sabal-Lecco et Manu Codjia (remplacé en 2002 par Emil
Spanyi).
2001, création de "Flower Machine" avec Thomas
Agergaard, Klavs Hovman et Marylin Mazur.
2002, Nouveau projet avec Franck Tortiller,
Yves Torchinsky et François Laizeau. (Maison de la radio, janvier
2002).
2004, Enregistrement de l'album "Noctiflore"
en avec cette formation.
|
EXTRAITS
DE PRESSE
"Simon Spang-Hanssen,
sax ténor et soprano : Un européen au saxophone fougueux, avec un
son de texan, rond,charnu et des phrases véhé- mentes, dont l'imagination
semble inépuisable..." Michel Contat (Telerama)
"Il rappelle
Johnny Griffin pour la vélocité et l'impatience, Dexter Gordon pour
une espèce de nonchalence mi-feinte, que dément aussitôt son coté
George Adams (une certaine manière de transgresser les références
par le lyrisme et par l'excès.)" Franck Bergerot (Jazz Hot)
"Et c'est un
son plein, et pas seulement des savoirs fraichement acquis ou de traditions,
mais encore de fougue et de la volonté déterminée d'être saxophoniste
de jazz, c'est net. Nette aussi l'articulation des phrases, sans fioritures-cache-misères
ni vanités de jeune premier - toutes lourdeurs inutiles, car ce n'est
pas le vocabulaire qui manque lorsqu'on sait ce qu'on veut exprimer,
les notes viennent alors d'elles-mêmes." Jean-Yves Le Bec (Jazz Magazine
)
" Mine de rien,
avec son air de grand aryen, c'est l'un des saxophonistes les plus
métissé de la scène parisienne.... La timidité un peu martiale de
Simon Spang-Hanssen dissimule le bouillonnement d'un curieux mélange
d'enthousiasme, de tendresse et de langueur. Franck Bergerot (Jazz
Hot )
"Danois de Paris,
le saxophoniste Simon Spang-Hanssen sait être savant et lyrique, spontané
et réfléchi à la fois; doit-on voir dans sa double identité (ou son
double déracinement ?) la source de cette remarquable ambivalence?
Xavier Prévost ( Jazz Magazine )
"Le soprano trouve
un son bien à lui, profond,envoûtant parfois, avec ce lyrisme que
savent trouver les instruments au petit corps ( et l'on salue au passage
un cousinage émouvant avec l'harmonica de Toots Thielemans dans Lady
Love )." Yvan Amar (Jazzman)
" Spang-Hanssen
se place dans une tradition post-bop, évoquant tout en restant lui-même
les grands maîtres, avec des inflexions qui pourrait tenir de Rollins,
Coltrane ou Steve Lacy." Sylvain Siclier (Jazzman)
retour
page d'accueil
|