tarif des entrées


Samedi 6 Octobre 2012

à 22 h

Gymnase du Lycée Sévigné

 

Dans le cadre de la
Nuit Blanche
organisée par la
Ville de Charleville-Mézières

 


Emmanuel Pedon
BD-Concert
"Villain, l'homme qui tua Jaurès" 

Xavier Rosselle : saxophone
Stéphane Bartelt :
guitare
Mathias Neiss :
batterie
Emmanuel Pedon :
conception vidéo et musique du film, piano

http://emmanuel.pedon.free.fr/musique/index.html

Emmanuel Pedon
BD-Concert
"Villain, l'homme qui tua Jaurès" 

Dans la bande dessinée « Villain, l'homme qui tua Jaurès » (parue en 2011 aux éditions Altercomics), Daniel Casanave et Frédéric Chef racontent la vie de Raoul Villain, ce Rémois un peu « dérangé » qui, en 1914, assassina Jean Jaurès.
Un portrait savoureux, autant fidèle qu¹ironique, d'un personnage hors-normes, mais aussi celui de la France de la Belle Époque.
 
À partir de cet album, Emmanuel Pedon a conçu un spectacle pour la scène, variante originale du ciné-concert : il a réalisé une adaptation vidéo dynamique de la BD et en a écrit un accompagnement musical, destiné à être joué en direct lors de la projection du film.
 
Pianiste et compositeur, Emmanuel Pedon est l¹un des jazzmen les plus actifs de la région, remarqué notamment pour son récent Trio avec Claude Tchamitchian et Mathias Neiss.
C¹est une autre facette de sa créativité qu¹il nous livre pour ce spectacle, un savant dosage de thèmes musicaux parfaitement accordés aux images et de moments improvisés où se révèlera tout le talent des musiciens de ce quartet.

Le concert se déroulera en présence des auteurs de la BD, et se conclura par une séance de dédicaces.





 





 


 Samedi 27 Octobre 2012
 
20h30


FORUM

13, Av Jean Jaurès

Charleville-Mézières

Mats & Morgan Band
(Suède)

Mats Öberg :
claviers
Morgan
Ågren : batterie
Gustaf Hielm : basse

 

plus d'infos :

 

 

" En attendant la SMAC"

Ce concert vous est proposé dans le cadre des actions de préfiguration d'une Scène de Musiques Actuelles portée par la Communauté d'agglomération Coeur d'Ardenne avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles et la Région Champagne-Ardenne.


Mats & Morgan Band

(Suède)

“They played unbelievable, just unbelievable."
Frank Zappa.

"I am stunned, these guys have an extraordinary amount of talent."
-Steve Vai

Remarkable technical expertise and playing skills."
-Bill Bruford (King Crimson)

Vingt ans après avoir été révélés, encore adolescents, par le grand Frank Zappa, Mats Öberg et Morgan Ågren sont une référence incontournable, champions reconnus d'une musique instrumentale  à haute technicité, époustouflante d'énergie et de générosité, quelque part entre rock progressif et jazz-fusion.


Au milieu des années 90, Mats & Morgan commencent à réaliser des albums sur le label UAE créé par Morgan, et constituent un groupe stable qui s'est produit en Europe, aux USA, et au Japon… Mats & Morgan ont enregistré 8 albums, dont deux sur le label américain Cunéïform records. (Thanks for flying with us, et
Heat Beats Live + Tourbook 1991-2007 2008, cd+dvd) .

Depuis quelques années, le groupe se produit souvent dans la formule réduite du trio, qui permet le mieux d'apprécier le travail de Mats Öberg aux claviers et le phénoménal Morgan Agren à la batterie, sur l'assise solide de la basse de Gustaf Heilm (ex Meshuggah).
Nous avions invité Mats & Morgan Band en 2007 dans le cadre du Festival « Tambours de Fête », et leur prestation époustouflante  avait sidéré un  public  nombreux, certains fans s'étant déplacés de loin, les concerts français de cette formation étant très rares.
 
voir un extrait de la video du concert

Morgan Ågren, élu meilleur batteur de la catégorie "fusion", par la revue Modern Drummers en 2010, s'est produit également avec Fleshquartet, Steve Vai, Fredrik Thordendal (of Meshuggah), Terry Bozzio, Mike Keneally, Dweezil Zappa, etc... Un documentaire lui étant exclusivement consacré est actuellement en cours de tournage.
Plus d'infos sur le site de Morgan Agren

Mats & Morgan animeront une masterclasse le dimanche 28 octobre.

 "...La musique, c'est un peu du Zappa qui rencontre Bill Bruford, Billy Cobham, avec une touche de Mahavishnu et de Return to forever, le tout remixé à la sauce troisième millénaire. Si vous pensez tout de suite à "Ordinateur + séquences", oubliez : tout est joué LIVE. Chaud, très chaud devant !!" 

Batteur Magazine - juin 2003.



photo Claude DuFresne




photos Dominique Rieffel et Michel Renaux

 

 Vendredi 23 Novembre  2012
 
20h30

Théâtre

de Charleville-Mézières

Dhafer Youssef Quartet
"Abu Nawas Rhapsody"

Dhafer Youssef : oud / vocals
Kristjan Randalu : piano
Phil Donkin  : contrebasse
Ari Hoenig : batterie

 

en partenariat avec le Théâtre de Charleville-Mézières


Réservations : Théâtre
03 24 32 44 50

Plus d'infos :

 

 

 

Suite à un grave problème familial, Dhafer Youssef s'est vu contraint d'annuler le concert du 23 novembre .
Nous en sommes désolés et vous demandons de bien vouloir excuser cette annulation indépendante de notre volonté.
Le Théâtre pourra procéder au remboursement  des places à partir du lundi  26 novembre à 13h30.
Encore une fois, nous sommes désolés, d'autant plus que le report du concert ne semble pas envisageable pour l'instant.


Dhafer Youssef
"Abu Nawas Rhapsody"

Du sacré au profane, du divin au terrestre, une rencontre rare et enivrante.

Musicien et chanteur tunisien prodigieux, Dhafer Youssef poursuit la quête d’un univers musical où les sonorités contemporaines du jazz s’unissent au mysticisme, en une médiation poétique et spirituelle. Son oud nomade nourrit volontiers ses échanges avec un chant profond en timbre ensorcelant.

Dhafer Youssef renouvelle le langage des musiques de jazz en passant d’une musique méditative orientale aux sonorités des musiques improvisées.
La puissance de la voix, la poésie des sons s’entremêlent dans une parfaite symbiose du quartet, alternant les changements rythmiques et mélodiques avec une aisance déconcertante.

L’antagonisme profane-sacré, une fois encore, constitue le fil conducteur de la musique de Dhafer, ancien muezzin : la voix, comme don de soi, sacrée, mais refus forcené de toute vérité dogmatique.
Pour mener à bien cette aventure spirituelle, Dhafer relègue un temps ses escapades électro, pour revenir à la sacro-sainte formule piano-basse-batterie. Entouré de jeunes musiciens virtuoses (Mark Giuliana, Chris Jennings, Kristjan Randalu), libres de toute entrave, Dhafer fait swinguer le sacré, ouvre les portes de la poésie, rénove la langue jazz qu’il affectionne tant.

A travers ce voyage musical unique, Dhafer Youssef rend un bel hommage au poète arabo persan Abu Nawas à qui il dédie son dernier enregistrement.

"Dans cet univers hédoniste et dissipé, chaque instrumentiste tournoie, repousse ses propres horizons pour créer cette fusion, tout en couleurs, en lignes de faille et en jouissances, qui relie sacré et profane. Juste extraordinaire."

Anne-Laure Lemancel - Mondomix



 

 


photo Hassen Soufan


Samedi 8 Décembre 2012
 
20h30

 
Auditorium CRD

 Concert de fin de résidence

« Soundpainting »
Bigband du CRD
dirigé par Fabrice Martinez
invite  Thomas de Pourquery

 

plus d'infos :




Bigband du CRD dirigé par Fabrice Martinez
invite  Thomas de Pourquery


Après deux années de résidence, soit six sessions  de stages au cours desquelles les techniques de base du sound-painting ont été acquises, et retravaillées tout au long de l’année avec Dominique Tassot, responsable du Département Jazz du CRD et Directeur du Big-Band, Fabrice Martinez et les élèves du conservatoire vont présenter le fruit de leur travail. L’occasion de faire découvrir au public carolomacérien cette technique d’improvisation collective très en vogue à l’heure actuelle.

Fabrice Martinez, leader de "Chut les Chiens", membre entre autres du "Sacre du Tympan", est aussi un remarquable pédagogue qui a entraîné le Big-Band du CRD sur des chemins aventureux, mêlant soundpainting et relectures de morceaux de Sun Ra et de Fred Pallem (Sacre du Tympan).

Pour magnifier ce concert de fin de résidence, Fabrice Martinez a invité un de ses partenaires privilégiés, le saxophoniste Thomas de Pourquery, leader de DPZ, auteur d'un récent projet sur la musique de Sun Ra, membre de quelques-unes des formations les plus innovantes du moment (comme le Mégaoctet d'Andy Elmer), improvisateur décoiffant et à l'occasion chanteur étonnant.



lire l'article et l'interview de Thomas de Pourquery sur Culture Jazz



photo Dominique Rieffel


photo Thierry Giard-Culture Jazz

Jeudi 7 Février 2013
 20h30

Auditorium CRD

Fabrice Alleman "Obviously" New Quartet

 

Fabrice Alleman :
saxophones & compositions

Nathalie Loriers : piano

Reggie Washington : basse, contrebasse
Lionel Beuvens : batterie


plus d'infos :

Fabrice Alleman Quartet

 

Après un chemin déjà jalonné de nombreux projets: Fabrice Alleman Quartet, Alleman-Loveri duo, de collaborations (Randy Brecker, Terence Blanchard), de nombreuses récompenses, et une cinquantaine d'albums enregistrés en tant que sideman, Fabrice ALLEMAN s'affirme comme un saxophoniste de classe internationale, doublé d'un compositeur et leader de grand talent.
Il nous revient avec un projet de haut vol, un nouveau quartet baptisé "Obviously" : des compositions originales profondément mélodiques et naturelles, des musiciens d'une sensibilité, d'une musicalité et d'une richesse rares : à la basse, le grand Reggie Washington (Branford Marsalis, Steve Coleman), au piano et Fender Rhodes, Nathalie Loriers (leader reconnue et accompagnatrice de Philip Catherine, Toots Thielemans...) et un jeune batteur talentueux, Lionel Beuvens (Peter Hertmans).
Ce nouveau quartet nous emmène aux confins du jazz mélodique, "groove", moderne et ancré dans la tradition, avec un enthousiasme communicatif.

"... Le concert débute par «Sister Cheryl» de Tony Williams, la suite sera consacrée à des compositions du saxophoniste, pièces spontanées reflètant une évidence naturelle, d'où le nom du projet : «Obviously». On entendra peu Nathalie Loriers au piano acoustique, mais son jeu au Fender, couplé au gros son de la basse de Reggie Washington, convient à merveille à l'esprit groovy des compositions du leader. Une musique chaude, spontanée qui gagnera en intensité au fil du concert..."
L'avenir.net



photo Jacky Lepage


Jeudi 7 Mars 2013

 20h30

Théâtre
de Charleville-Mézières

Gaïa Cuatro
invite Paolo Fresu

(Japon/Argentine/Italie)

Paolo Fresu : trompette, bugle
Gerardo Di Giusto : piano
Aska Kaneko : violon
Carlos "El Tero" Buschini : basse
Yahiro Tomohiro : percussions


en partenariat avec le Théâtre de Charleville-Mézières

Réservations : Théâtre
03 24 32 44 50

plus d'infos :

 

le site de Gaïa Cuatro

le site de Paolo Fresu

 


Gaïa Cuatro invite Paolo Fresu

L'intensité et le caractère fougueux de la musique argentine mélangés au raffinement de la tradition musicale japonaise, le tout enluminé par les notes somptueuses d’un des plus grands trompettistes de la scène européenne.
Gaïa Cuatro, quartet exceptionnel, est  né de la rencontre entre deux des musiciens les plus emblématiques de la scène jazz japonaise et deux musiciens argentins particulièrement inventifs.
La virtuosité époustouflante de la violoniste Aska Kaneko est servie ici par l'écriture à la fois sophistiquée et flamboyante du compositeur Gerardo Di Giusto (par ailleurs co-leader de Cordoba Reunion),  pour former un ensemble auquel répond, dans un parfait équilibre, la rythmique tout en finesse que tisse le surprenant dialogue entre le bassiste Carlos "El Tero" Buschini et le percussionniste Yahiro Tomohiro.
Après deux cds fort bien accueillis, Gaïa Cuatro a invité pour "Haruka", son troisième enregistrement, le trompettiste mondialement connu Paolo Fresu. Le musicien sarde s’est  magnifiquement intégré dans leur univers auquel il a apporté sa sensibilité et la sonorité  incomparable de sa trompette.
Cinq musiciens qui portent l'art de l'improvisation à son excellence, avec une liberté de ton aux antipodes des conventions établies, façonnant au passage une musique totalement inédite, mais rendue étonnamment familière par son naturel et son élégance.
 A deux reprises, Gaïa Cuatro a conquis le public de l’Auditorium du Conservatoire, et Paolo Fresu celui du Théâtre. Leur association sera l’occasion d’un grand moment qui devrait séduire tout à la fois les amateurs  de jazz, de world, et de musique classique.


                                                                       

Voir une vidéo sur Youtube


photos Daniela Zedda, Michel Renaux et Dominique Rieffel. montage Michel Lhuillier

Jeudi 11 Avril 2013
 20h30

Auditorium CRD

Pierre de Trégomain Quartet

 

Arnaud Gransac : piano
Bruno Shorp  : contrebasse
Benoist Raffin : batterie
Pierre de Trégomain : vocals

 

 

plus d'infos :

 

voir une vidéo

 


Pierre de Trégomain Quartet

Dans la lignée de Mark Murphy et Michèle Hendricks, parrainé par David Linx, Pierre de Trégomain est un nouveau talent du jazz vocal français.
Loin des néo-crooners et autres entertainers, il a choisi le chemin de l’exigence artistique.

Bercé par les voix aussi diverses que Klaus Nomi, Sarah Vaughan ou Al Jarreau, Pierre de Trégomain a créé en 2005 ce quartet élaborant un univers musical singulier où se conjuguent quatre sensibilités originales. Fort de cette précieuse alchimie, le groupe s'est produit en clubs et a remporté en août 2008 le Premier Prix du concours Crest Jazz Vocal.
Il a sorti en 2010 son premier opus intitulé « My Cold Song ». A partir de compositions originales finement ciselées, ces quatre musiciens soudés déjouent sur scène les contraintes du genre pour libérer une énergie hautement contagieuse !


"Dans la lignée de David Linx et loin des néo-crooners et autres entertainers, Pierre de Trégomain a choisi le chemin de l'exigence artistique. Dès le premier morceau ( inspiré de la version que Klaus Nomi donna de "The Cold Song" de Purcell), on sent quel chanteur il est : voix d'une belle clarté, technique irréprochable, excellente voix de tête et articulation sans défaut qui lui permet de scatter sans problème...
Faisant corps avec ses musiciens, voilà un chanteur qui a pleinement réussi son premier disque, lequel résistera à l'épreuve du temps."

Philippe Vincent -Jazzmag- Juin 2012

"Voici une nouvelle voix masculine qui prend son envol pour les années à venir : Pierre de Trégomain, un chanteur qui se positionne à un carrefour stylistique osé et à mon avis important dans un paysage vocal trop miné par la complaisance. Une voix claire et belle pour servir des compositions et des textes originaux, empreints du passé, ouverts sur le futur. Du haut vol, du jazz vocal européen made in France." David Linx

"Pierre de Trégomain se distingue par la clarté de sa voix fluide et soignée au timbre très personnel, une technique irréprochable et un phrasé be bop bien articulé aux scats joliment maîtrisés. Ses compositions chargées d’émotion mêlent avec intelligence mélodie swingante, improvisations sophistiquées et textes poétiques. Après avoir suivi les enseignements de Thierry Péala, Mark Murphy et Michelle Hendricks, P. de Trégomain choisit le chemin de l’exigence artistique et sort des clichés à standards trop entendus chez certaines voix féminines.
Voilà un nouveau venu au talent bien prometteur dans la petite sphère du jazz vocal masculin qui, on l’espère, fera beaucoup parler de lui dans les prochaines années. Pour les curieux qui souhaitent découvrir l’univers subtil de ce chanteur à ce jour encore trop discret sur les scènes françaises, le disque a reçu un accueil enthousiaste à sa sortie et ne devrait pas faire de déçus."
Culture Jazz



photo Thomas Eskenazi

 

Mardi 28 mai 2013
 20h30

Auditorium CRD

John Law's Congregation
(Grande Bretagne)

John Law : piano
Asaf Sirkis : batterie
Yuri Goloubev : contrebasse

 

 

plus d'infos :

http://www.nday.co.uk/biography.html

musique et vidéos sur Youtube

 

 

 


John Law Trio

(Grande Bretagne)

En mai 2011, John Law et son trio ont créé la surprise. Le public de l'Auditorium découvrait un pianiste d'exception, entouré de musiciens à la hauteur de son immense talent. A cette époque, nous n'hésitions pas à dire qu'il avait sa place aux côtés de Brad Mehldau et du regretté Esbjorn Svensson.

Depuis, il a confirmé tout le bien qu'on pensait de lui avec deux albums, "This is" enregistré en duo avec Mark Pringle, un de ses élèves, et "Three Leaps of the Gazelle", avec le trio présent à Charleville, rebaptisé "Congregation".
John Law a un parcours assez unique : promis à une brillante carrière de soliste dans le monde de la musique classique, il se lance à 23 ans dans le jazz le plus free. Il y côtoie les plus grands noms du genre. Puis il accorde plus d'intérêt à l'écriture, réinvestit sa grande connaissance de la musique baroque dans un jazz de plus en plus mélodieux et énergique. La récente série de 4 albums, intitulée "The Art of Sound", comportant deux enregistrements en solo et deux en trio le place d'emblée parmi les pianistes les plus intéressants de l'époque.
Il a enregistré 25 albums en leader, et pour ce trio, s'est associé à deux musiciens recherchés au cv impressionnant : le batteur d'origine israélienne Asaf Sirkis et le russe Yuri Goloubev, virtuose de la contrebasse.

Le résultat est époustouflant, une musique à la fois mélodique et dynamique, sophistiquée et facile d'écoute.


"Remarquable technicien, utilisant toute la palette du clavier, John Law est également un compositeur très diversifié, capable de construire des pièces épiques d'une grande complexité tout en ayant la faculté d'écrire une simple mélodie qui va droit au cœur... "Three Leaps of the Gazelle" place Law et ses partenaires au top de leur catégorie. Il serait difficile de trouver dans les trios jazz actuels une formation aussi innovante et sympathique. Cet album est un nouveau bond esthétique en avant pour John Law et nous ne pouvons que souhaiter que l'incarnation de ce trio ait une longue vie... "
Jakob Baekgaard -All About Jazz -Mai 2012

 



photo Michel Renaux

 


Vendredi 7 juin 2013
 
20h30

 

Amphithéâtre
Pierre Mendes-France

SEDAN

Ciné-Concert

The Lodger

(Alfred Hitchcock - 1927)

Stephan Oliva : piano solo

 


entrée libre sur réservations

Médiathèque de Sedan

tel : 03 24 29 26 48

co-production
Médiathèque de Sedan/CAJ

 




Ciné-Concert

The Lodger (Alfred Hitchcock - 1927)

Stephan Oliva : piano solo

The Lodger - A.Hitchcock
(Grande-Bretagne - 1927 avec Ivor NOVELLO, June, Malcolm KEEN, Marie AULT, Arthur CHESNEY)
Considéré par beaucoup comme le premier vrai film hitchcockien, The Lodger est une histoire nappée de brouillard londonien et inspirée de la figure mystérieuse de Jack l’Éventreur.
Dans un style largement influencé par l’expressionnisme allemand, et avec son propre sens du rythme, Alfred Hitchcock réalise l’un des sommets du cinéma muet britannique. On retrouve, réunis pour la première fois, tous les éléments qui font la particularité du maître : le défilé de jolies blondes (ici victimes de prédilection du tueur en série), la récurrence des lieux clos et des cages d’escaliers, l’aversion pour les policiers, ainsi que l’utilisation appuyée de la métaphore.

STEPHAN OLIVA • Pianiste, compositeur, arrangeur.
Pianiste et compositeur réputé pour la finesse de son jeu, son toucher d’une grande sensibilité, son originalité et son éclectisme, il entretient un lien très fort avec le cinéma :
Relectures de musiques de cinéma :
Jazz’n’(e) motion (1998) - Ghost of Bernard Herrmann (2007) - Lives of Bernard Herrmann (2010) - Film noir (2011) - After noir piano gone (2011)
Composition de musiques de films :
Froid comme l’Eté (2003) - Les liens du Sang (2008) - Un Singe Sur Le Dos (2010) - La mer à boire (2012)
Ciné-concerts :
Stephan Oliva compose et improvise en direct (solo, duo ou trio) sur des films muets dont "Loulou" de Pabst, "Crainquebille" de Jacques Feyder, "L’inconnu" de Todd Browning, "Le Bonheur" de Medvekine, "Monte là-dessus" avec Harold Lloyd, "The lodger" d’Alfred Hitchcock...

 


Photo Cécil Mathieu

 

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Programmation réalisée avec le soutien de :