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saison 2015 2016

Voir tarifs d'entrée :

 



Jeudi 15 octobre

20h30

Auditorium CRD


 

 

Jérôme Sabbagh

USA Quartet

Jérôme Sabbagh :
saxophone ténor
Ben Monder :
guitare
Joe Martin :
contrebasse
Mark Ferber :
batterie

Plus d'infos :

Voir le teaser de l'album
"The Turn"


 


JÉRÔME SABBAGH QUARTET

Saxophoniste à la fois issu de la tradition du jazz et représentatif de la scène new-yorkaise contemporaine dans ce qu’elle a de plus éclectique et de plus vivant, Jérôme Sabbagh est marqué par un attachement profond à la mélodie. Le quartet de Sabbagh existe depuis 10 ans, stabilité remarquable et rare dans le jazz aujourd’hui. Il a su au fil des ans développer un son qui lui est propre et qui doit beaucoup à l’excellence des musiciens.

Jérôme Sabbagh, saxophoniste et compositeur, naît à Paris en 1973 et vit à New York depuis 1995. Il privilégie avant tout le lyrisme, la qualité du son, et cherche la phrase juste. Il propose une musique variée et cohérente qui oscille entre ambiances pop/rock et climats mystérieux en laissant toujours une part importante à l’improvisation. Il fut l'un des derniers saxophonistes de Paul Motian, avec lequel il a joué une semaine au Village Vanguard avec Ben Monder. Il a enregistré six disques en leader, avec son quartet, ainsi qu'avec Ben Street, Rodney Green, Daniel Humair, Jozef Dumoulin, Patrice Blanchard et Rudy Royston.

Des solos inspirés en harmonies toujours inventives, Ben Monder, partenaire de Maria Schneider, Paul Motian et Lee Konitz, montre chaque soir qu’il est l’un des très grands guitaristes d’aujourd’hui.

Joe Martin, contrebassiste "tout terrain", partenaire régulier de Mark Turner (il figure sur le dernier disque du saxophoniste pour ECM, "Lathe of Heaven") et Chris Potter, offre à cette musique une assise irréprochable, grâce notamment à la précision de son phrasé.

Pour cette tournée, l'excellent Mark Ferber, qui joue régulièrement avec Jérôme Sabbagh depuis 20 ans, sera à la batterie. Il est membre du groupe de Ralph Alessi "This Against That" et a joué avec Lee Konitz, Jonathan Kreisberg, Jack Wilkins, Don Byron, Fred Hersch, Tony Malaby, Anthony Wilson et Billy Childs.

Le nouveau disque du quartet de Jérôme Sabbagh, "The Turn" (Sunnyside) a été très remarqué en Europe comme aux Etats-Unis. Il a été inclus dans les listes des meilleurs disques de l'année 2014 de DownBeat, Boston Globe, LA Times, Ottawa Citizen, et Burning Ambulance (ainsi que France Musique en France).

"M. Sabbagh s'exprime avec assurance et ses compositions, souples et solides à la fois, séduisent l'auditeur. Egalement important est le fait que les autres membres du groupe sont constamment à l'affût de l'inédit et de l'inattendu, aussi bien sur le plan individuel que collectif. [...] M. Sabbagh évite les allusions directes aux monstres sacrés du saxophone. Au contraire, il développe un vocabulaire personnel et sincère, de manière simple et efficace.”
- New York Times

 www.jeromesabbagh.com

Jérôme Sabbagh, Ben Monder, Joe Martin et Mark Ferber
animeront une masterclasse au CRD le samedi 17 octobre.

 




photo Vincent Soyez

Samedi 14 novembre

20h30

  Théâtre
de Charleville-Mézières

tcm

plus d'infos :

 

Trio Kornazov / Codjia / Tamisier

Gueorgui Kornazov :  trombone
Geoffroy Tamisier :
 trompette
Manu Codjia :  
guitare

 

 

 

Elina Duni Quartet


Elina Duni : chant
Colin Vallon : piano
 Lukas Traxel : contrebasse
 Norbert Pfammatter : batterie

écouter :
Elina Duni Quartet - Sytë

 

voir une vidéo :


Ka nje mot e gjysem viti

Elina Duni live at Cosmos Jazz Festival

 

 

 

 

 


Réservations : Théâtre
03 24 32 44 50

 

 

Samedi 14 novembre 20h30

Théâtre
de Charleville-Mézières

tcm

co-organisation CAJ / Théâtre

TRIO KORNAZOV / CODJIA / TAMISIER 

"LE GRIS DU VENT"



Ce trio atypique fonctionne comme un collectif de trois compositeurs. Leur poésie est le fruit de plus de dix années de vie musicale commune. L’importance et l’originalité de cette formation viennent non seulement de l’instrumentation particulière (pas de basse, pas de batterie), mais également de l’interaction des trois improvisateurs.

Gueorgui Kornazov (trombone), originaire de Bulgarie, a découvert le jazz dès sa prime jeunesse via la radio « Voice of America ». Il oscille avec bonheur entre douceur mélodique et puissance tellurique. On l’a vu régulièrement au sein du « Strada » d’Henri Texire et de diverses formations de Jean-Marie Machado. Mais il est surtout un remarquale leader, à la tête de son quintette Horizon (Parisien/Codjia/Buronfosse/Jannuska).

A la trompette, Geoffroy Tamisier, qui a été membre de l’ONJ et de l’ensemble Mukta ainsi que du Gros Cube (écouter en particulier Au bonheur des anges), a, à son actif, un disque de compositions en Big Band avec Kenny Wheeler (G Meets K). Il joue également en duo acoustique avec Fred Chiffoleau (contrebassiste du « Jus de Bocse » de Médéric Collignon).

Manu Codjia , l'un des guitaristes les plus demandés de la scène européenne, de Daniel Humair à Erik Truffaz, est aussi un leader remarquable. Il se montre au sein de ce trio très sobre et totalement au service des cuivres, jouant le plus souvent en arpèges délicats et en rythmique ciselée.

"Une écriture fine, délicate, tout en nuances, qui se démarque d’emblée par des lignes épurées et des climats aérés."   
FELIX MARCIANO, "JAZZMAN

 "L’imaginaire de ce trio sait imposer son rythme grâce à une musique chambriste savamment composée, évoquant parfois une atmosphère de bande originale de film. Une musique très subtile, qui requiert toute notre attention. On peut se laisser porter jusqu’aux rives de la musique française - Debussy, Ravel ou Fauré - pour les moments calmes, mais aussi vers Stravinsky ou Bartok pour les passages plus tendus."   CITIZEN JAZZ

"En attendant la SMAC"
Ce concert vous est proposé dans le cadre des actions de préfiguration d'une Scène de Musiques Actuelles portée par la Communauté d'agglomération Charleville-Mézières / Sedan avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles et la Région Champagne-Ardenne.

 

ELINA DUNI QUARTET

Suite au désistement de Lou Tavano pour raisons de santé, nous vous proposons le quartet d'Elina duni qui nous avait enchanté à l'Auditorium du CRD. Depuis la chanteuse a fait sonchemin, joué dans les plus grands festivals et signé sur le prestigieux label ECM. C'est avec un immense plaisir que nous la retrouverons sur la scène du Théâtre.

Chanteuse née à Tirana, émigrée en Suisse à 10 ans, Elina Duni prône un jazz inspiré de chansons traditionnelles albanaises, grecques, roumaines ou bulgares. Elle est l'une des belles découvertes de la nouvelle  scène européenne, s'inscrivant dans la catégorie de chanteuses qui incarnent une certaine idée de la mondialisation,mais profondément ancrée dans une démarche jazz, avec une voix-instrument laissant libre cours à ses envolées. Une voix qui hypnotise, ensorcelle, et soutenue par des musiciens de jazz ancrés dans leur temps, et faisant déboucher la musique sur de nouvelles manières de marier les différentes influences.
Elina Duni, c'est d'abord une voix absolument fascinante – une voix à mi-chemin entre l'euphorie et la mélancolie, une voix qui fait frissonner, qui donne la chair de poule. Puis il y a sa présence scénique si captivante : magique et en même temps sans aucune prétention. Elina Duni vit la musique avec une passion et une intensité unique, à travers chaque pore de sa peau.
Au cours des dernières années, le Elina Duni Quartet a évolué dans le sens de toujours plus de cohésion organique et de diversité d’approches artistiques. Les musiciens semblent littéralement pénétrer à l’intérieur des textes.
«Nous nous sommes concentrés sur l’énergie dont cette poésie a besoin en essayant de traduire son essence à travers notre musique. Pour moi toute musique improvisée relève de l’esprit du jazz. Nous ne nous sentons jamais obligés de jouer une chanson deux fois de la même manière.»

Colin Vallon, qui a souvent cité des chanteurs parmi ses influences les plus décisives, semble ici faire sonner son piano comme une seconde voix répondant à celle de la chanteuse. Le contrebassiste Lukas Traxel, laisse entrevoir dans ces plages toute son intelligence musicale dans sa façon de choisir les notes et démontre l’étendue de sa sensibilité dans son entente quasi télépathique avec le batteur Norbert Pfammatter. Duni a parfaitement conscience de la qualité de sa formation et reconnaît aisément que la magie de la musique réside en grande partie dans l’interaction dont font montre les membres de l’orchestre. 

“Je n’ai jamais voulu être une chanteuse accompagnée par un trio. Depuis le début je donne beaucoup de place aux musiciens pour qu’ils s’expriment, improvisent et j’ expérimente aussi avec ma voix. Je ne suis qu’une instrumentiste parmi les autres. Au fil du temps nous avons acquis une compréhension mutuelle qui nous permet d’aller partout où nous le désirons...“

PRESSE :

" On suit le fil de l’âme albanaise comme un fanal dans la brume. On reste soulevé par le sortilège, sous le charme, ensorcelé. Saisi par les mélopées à vif adaptées du folklore. Le choix des airs, la mise en place, les improvisations portent la patte de la vocaliste. Elle provoque l’interaction entre les musiciens du quartet (Colin Vallon, Patrice Moret (contrebasse,) et Norbert Pfammatter (batterie). Elle se porte au premier plan, écarte les broussailles, comme une exploratrice.
Le label ECM signe Elina pour la seconde fois. Le choix nous réjouit. Un choix d’avancer dans une grande tradition du jazz que les musiciens européens marqueraient de leur griffe. Un parti-pris où la profondeur ne laisse aucune chance au kitsch. Les chansons albanaises, filon inexploité en jazz, parlent d’exil, de séparations amoureuses, de rupture culturelle. (... ) Elina Duni habite le texte comme l’actrice incarne un rôle. Comment Manfred Eicher, fondateur d’ECM, aurait-il pu se louper avec une personnalité aussi enflammée ? "
Libération Juin 2015

"La beauté ne sauvera pas le monde, mais Elina Duni peut vous sauver durablement de l’ennui."
A/R Magazine

"Echappant intelligemment au pathos, Elina Duni et ses musiciens cultivent un groove élastique, joliment entêtant, circulaire, évoquant une transe."
Francicso Cruz, Jazz News

"Oui, et c’est bien au-delà des montagnes que nous transporte ce disque qui semble parfois tutoyer les anges...Si cet album est si émouvant c’est aussi parce qu’il opère la rencontre entre l’amour du jazz, musique de l’émancipation avec l’impérieuse nécessité de renouer avec une certaine forme d’intégrité. La voix des oubliés devient la voix de la dignité."
Didier Varod, France Inter

 

 




 

 

 

 

 

 

 





photo Blerta Kambo

Jeudi 17 Décembre
20h30
Auditorium CRD


Airelle Besson Nelson Veras Duo

Airelle Besson : trompette

Nelson Veras : Guitare

 

plus d'infos :

 



AIRELLE BESSON / NELSON VERAS DUO

Nelson Veras et Airelle Besson se sont rencontrés il y a une dizaine d’années. Ils ont un langage en commun où l’échange, l’écoute, la créativité et la fraicheur sont les maîtres mots. Fluidité du jeu, élégance du phrasé, charme de la sonorité acoustique, ils ont choisi le duo acoustique afin de découvrir une liberté d’expression et d’explorer un nouvel espace musical. Nelson et Airelle sont deux musiciens généreux, expressifs, lyriques dont la maîtrise instrumentale n’a d’égale que leur goût du risque musical. Les structures explosent ainsi que l’harmonie et les rythmes, au gré de l’inspiration de chacun. Leur exigence de l’improvisation ne connaît pas de limites. La musique alterne entre compositions, standards de jazz et chansons, improvisations.

"Un dialogue virtuose et sans bluff." Libération

"On assiste avec admiration et tendresse à cet échange plein de finesse et d’attention  réciproque." Télérama

Airelle Besson, très présente et très respectée sur une scène jazz essentiellement masculine, a reçu la Victoire de la révélation de l'année 2015. En janvier, elle avait été distinguée, à l'Académie du Jazz, par le prix Django Reinhardt désignant le musicien français de l'année.

La musicienne trentenaire multiplie les projets et les collaborations, entre son duo intimiste avec le guitariste Nelson Veras, sa résidence à Jazz sous les Pommiers, ses expériences en direction d'orchestre et, très récemment, son nouveau quartet avec la chanteuse Isabel Sörling, le pianiste Benjamin Moussay et le batteur Fabrice Moreau.

Quant à Nelson Veras, musicien brésilien venu en France à 14 ans, il s’est taillé dès son adolescence une réputation de guitariste virtuose. Sa précision rythmique et son imagination mélodique sont hors du commun, c'est une perle rare qui, non content d’être un virtuose sans être démonstratif, possède également une grande générosité. Son jeu se situe à mi-chemin entre jazz, musique classique et musique populaire ; il a travaillé avec Lee Konitz, Gary Peacock, Michel Petruciani, Daniel Humair, Olivier Ker Ourio, Stefano di Battista ou Steve Coleman – entre autres ! et il a enregistré trois albums en leader, en solo ou avec Stéphane Galland et Daniel Yvinec.

 

Bd-AcademieJazzPrix Django Reinhardt, Musicien français de l'année 2015

Victoires du jazz 2015 : Révélation de l'année.



photo Lucille Reyboz

Mardi 2 Février

20h30

 Auditorium CRD

Nicole Johänntgen Quartet



 

Nicole Johänntgen : saxophones alto et soprano
Max Petersen : piano
Thomas Lähns : contrebasse
Bodek Janke :
batterie, tablas, percussions

plus d'infos :


NICOLE JOHÄNNTGEN QUARTET


Née en Allemagne en 1981, Nicole Johänntgen a donné ses premiers concerts dans l'orchestre de son père à l'âge de 13 ans. Elle a étudié le saxophone et la composition à Mannheim et  s'est perfectionnée aux côtés de Phil Woods et  Dave Liebman  qui dit d'elle :  "Nicole a quelque-chose de vraiment spécial  dans son jeu : un cœur énorme  et généreux. Elle joue comme si sa vie en dépendait et entraîne toute personne à sa portée au cœur de sa musique. Une énergie exceptionnelle !"
Avec son groupe  "Nicole Jo", elle a enregistré 6 cd, le dernier en date, "Colours", en 2014.
Depuis 2005, elle habite en Suisse, à Zurich, où elle compose et enseigne.
En 2014, elle  a fondé le Nicole Johänngen Quartet avec des musiciens suisses, et enregistré en 2015  un nouvel album, "Moncaup", du nom d'un village du sud de la France. Elle y développe un jazz aux accents blues incorporant des influences rock, entraînant, bourré d'émotion et d'énergie.

"Nicole est une instrumentiste inspirée et rayonnante qui possède une vraie et pure intégrité artistique. Manifestement, la musique représente  tout pour elle, et elle me l'a transmis, et sûrement aussi à beaucoup d'autres." Lew Soloff (trumpet/Blood Sweet & Tears)

 Thomas Lähns a étudié la contrebasse classique et jazz. Il a joué avec des musiciens renommés tels que  Dave Liebman, Greg Osby, Glenn Ferris, Rick Margitza, Wolfgang Puschnig ...  et a co-fondé le  Jazz-Trio VEIN, avec  Florian et Michael Arbenz.


Le batteur-percussionniste d'origine polonaise  Bodek Janke a étudié la percussion classique, la batterie jazz et la composition en Allemagne,  avant de partir se perfectionner  à New York. Il s'y est initié à la musique indienne et aux tablas. Pendant son séjour de 6 ans aux USA, il a joué avec Dave Liebman, Billy Harper, Ben Monder et Dave Binney.
De retour en Allemagne en 2010, il a joué avec de nombreux jazzmen européens  et a enregistré "Global Dance Kulture", un album faisant le lien entre le jazz et la musique du Kazakhstan, de la  Russie et de la Pologne. Magicien du rythme, il s'est créé un set de percussions incluant des instruments d'origine indienne et africaine.

Le pianiste d'origine australienne Max Petersen a commencé à étudier le piano à l'age de 3 ans, joué dans des orchestres de jazz en Allemagne à 13 ans, avant d'intégrer en 2014 la Manhattan School of Music de New York où il a étudié avec Vijay Iyer et Jimmy Mcneely. Il a joué et enregistré avec de nombreux musiciens new-yorkais et européens, notamment Eric Harland, Donny McCaslin, Philippe Lemm, Nicole Johänntgen et Rudresh Manhanthappa.

 

 


photo Daniel Bernet

Mardi

1er Mars 2015

20h30

Auditorium CRD

"Music 4 a While "

Muriel Bruno : chant
Johan Dupont : piano
André Klenes : contrebasse
Martin Lauwers : violon
Jean-François Foliez : clarinette

plus d'infos:


MUSIC 4 A WHILE

Quand la musique ancienne rencontre le jazz...
...ou comment des musiciens à la formation classique évoluant pour la plupart dans un contexte jazz ont eu envie de partager une vie musicale différente...
En 2012, Johan Dupont rencontre Muriel Bruno, artiste lyrique, désireuse comme lui d'explorer d'autres rives que celles de la musique purement classique. Dès le début de leur collaboration, les deux artistes se passionnent pour John Dowland, luthiste et compositeur anglais du XVIème siècle. Au croisement des univers du pianiste et de la chanteuse va s'imposer la présence du contrebassiste André Klenes, artiste lui aussi de formation classique, dont le parcours s'aventure dans des formations contemporaines comme dans des projets jazz ou world music.
Autour de ce noyau de musiciens, bientôt rejoints par le clarinettiste Jean-François Foliez et le violoniste Martin Lauwers, la relecture contemporaine et ludique de John Dowland, Claudio Monteverdi, Henry Purcell ou Guillaume de Machaut a commencé.
De la chanson traditionnelle à la tarentelle en passant par les airs de la renaissance ou baroques, "Music 4 a While" remanie ce répertoire en le dotant des influences de chacun. La mélodie est un axe majeur du travail d'arrangement mené par Johan Dupont pour le groupe.
"Je n'ai pas voulu marier le classique et le jazz, explique Johan, j'ai simplement voulu montrer comment je ressentais aujourd'hui ces mélodies, comment elles restent d'actualité. C'est l'oreille qui a guidé ma démarche, sans contrainte. Je trouve intéressant de faire le lien entre la musique ancienne et la musique d'aujourd'hui. Dans la construction des morceaux, nous laissons une place primordiale à l'improvisation et à l'instantané. La musique n'est pas quelque chose de figé, la partition est un témoin, mais la plupart de ces musiques nous sont parvenues par transmisssion orale."
Le premier album éponyme de "Music 4 a While" (jeu de mot sur le célèbre "Music for a while" de H. Purcell) est sorti en Juin 2013 chez IGLOO Records, label Iglectic.

 

Music For A While est un joli défi qui cherche à rapprocher musique baroque (Dowland, Purcell ou Monteverdi) et jazz (.... la joie et la lumière dominent. Au centre, la chanteuse Muriel Bruno, voix de cristal enrobée de velours, lyrisme indéniable et tout autant de punch, donne vie à « Lidia spina del mio core » ou nous émeut sur « Flow My Tears ». Intelligemment arrangée et subtilement interprétée, la musique se déguste avec bonheur. Le swing s’invite dans les mélodies médiévales, le blues dépose ses fragrances sur les harmonies et l’improvisation vient troubler délicieusement les structures.
CitizenJazz- Septembre 2013




photos André Henrot




Jeudi 21 Avril

20h30

Auditorium CRD

Emler Tchamitchian Echampard
Trio

Andy Emler : piano
Claude Tchamitchian : contrebasse
Éric Echampard : batterie

Voir le teaser de l'album
"Sad and Beautiful"

 

plus d'infos :

 

EMLER / TCHAMITCHIAN / ECHAMPARD
TRIO

Les parcours individuels d’Andy Emler, Claude Tchamitchian et Eric Echampard les placent parmi les musiciens européens les plus reconnus :
Andy Emler, pianiste, organiste, leader depuis 1989 du Megaoctet, formation qui offre un cadre propice aux musiciens improvisateurs issus à la fois du classique, du jazz et du rock, est un instrumentiste et un compositeur incontournable, membre essentiel de la scène jazz.
Claude Tchamitchian, contrebassiste souvent décrit comme l'héritier français de Charlie Haden, à la fois partenaire demandé dans des contextes très variés est aussi leader d’un orchestre à géométrie variable, le Grand Lousadzak.
Eric Echampard, batteur au style précis, rigoureux et extrêmement percussif, actuellement aux baguettes avec l'Orchestre National de Jazz, a participé à de nombreuses aventures du jazz hexagonal. (Sclavis, Ducret, Corneloup, Portal ...)

lls forment à eux trois la rythmique du splendide Megaoctet mené tambour battant par Andy Emler, mais cela fait une dizaine d'années qu'ils aiment se retrouver en trio pour se laisser plus d'espace de jeu. Leur musique renvoie à leurs différentes influences, on y retrouve aussi bien des harmonies romantiques que des grooves endiablés, on passe de mélancolies délicates à l'énergie du rock, une intensité ludique se dégage de chaque composition. Une musique dont on ne se lasse pas et qui prend toute son ampleur en concert.

“Une musique à la fois dense et aérienne.“
ELU Citizen Jazz

"Une musique roborative, mêlant écriture, impro, groove, ostinatos obsessionnels, harmonies debussystes et énergie rock, le tout nimbé d'une délicate mélancolie."
CHOC Jazz Magazine

“Ces trois musiciens sont, de par leurs parcours individuels et collectifs, à la pointe du Jazz européen d’aujourd’hui, inventifs et créatifs en diable."
La République du jazz

"Les potentialités musicales d’une telle formation semblent inépuisables. Loin de tourner en rond, ce trio stimulant et jubilatoire, nous porte à avancer ensemble dans la matière sonore : le turbulent Andy Emler, touche-à-tout dissident, semble se plier facilement à la discipline imposée par ses deux comparses. Entre énergie déployée parfois en force, moments d’'improvisations ouvertes, jeu constant de questions-réponses, ce trio crée une voie rigoureuse et poétique."
Sophie Chambon - Jazzbreak


 


photo Cecil Mathieu



 

Mardi 10 mai

20h30

Théâtre
de Charleville-Mézières

 

ERIK TRUFFAZ
QUARTET


Erik Truffaz : trompette
Marcello Giuliani : basse
Arthur Hnatek : batterie
Benoît Corboz : piano

voir teaser du nouvel album

en partenariat avec le Théâtre de Charleville-Mézières

t

Réservations : Théâtre
03 24 32 44 50

plus d'infos :

 



ERIK TRUFFAZ QUARTET

Plus de vingt ans de carrière, dix-huit disques dont dix-sept sur le label mythique  Blue Note, des tournées extensives dans le monde entier : le succès du trompettiste Erik Truffaz et de son quartet est constant. Les ventes cumulées de ses albums se chiffrent à 500 000, un record dans le monde du jazz.
Les oreilles ouvertes aux sons du monde, du plus lointain Orient aux dernières évolutions électroniques, Erik Truffaz n'a cessé d'explorer et fusionner les genres : tourneries grooves du funk et de la soul, ambiances planantes, expressions musicales de l'Inde, détours par le Mexique, l'Afrique, le jazz acoustique..
.
Après des rencontres avec des musiciens du monde entier, des collaborations avec le chanteur Christophe, le dessinateur Enki Bilal, Erik Truffaz retrouve  avec bonheur la formule du quartet, avant tout une entité collective, un son, une dynamique de groupe.
Fort de sa récente  expérience avec la troupe  du chorégraphe sud-africain Gregory Maqoma  "Vuyani Dance Theater", Erik Truffaz  met au programme  rythmes et ambiances africaines élaborés par ce nouveau quartet se situant aux frontières de la soul, du groove africain et  de  l’ambient.
À la fois savante et populaire, la musique est accessible, tout en respectant une notion de recherche et d’originalité.


"Erik Truffaz appartient, comme Miles Davis, à cette catégorie - très rare - de musiciens avares de notes qui misent sur l'apesanteur, le feutré, le silence, le voilé pour créer un monde à partir d'une phrase ou d'un son, tout en laissant une allusion, une ellipse se charger de la suite."
Le Monde

 


"Mélange subtil de rythmes jungle, de be-bop et de hip-hop, le travail du trompettiste Erik Truffaz a marqué le jazz français d'un vent de fraîcheur. A la frontière entre les excursions psychédéliques de la musique électronique et les pérégrinations old school d'un Chet Baker, il a su trouvé un délicat équilibre, s'affranchissant des chapelles sans les renier".
Le Figaro Magazine

 



photo Nathalie Pallud




vendredi 3 juin 2016

 
20h30

 

Amphithéâtre
Pierre Mendès-France

SEDAN

Jeff Herr : batterie
Maxime Bender : saxophone
Laurent Payfert : contrebasse

 

entrée libre

co-production
Médiathèque Georges-Delaw/CAJ

mediathèque

voir vidéo :

plus d'infos :


JEFF HERR CORPORATION

 

La nouvelle formation de la Jeff Herr Corporation, surprenante d’habileté, se présente désormais comme un trio linéaire, sans instrument harmonique. Maxime Bender au saxophone et Laurent Payfert à la basse forment avec Jeff Herr aux percussions ce trio très doué et énergique qui est basé sur les compétences de composition de chacun des musiciens. Des morceaux bien arranges et structurés ainsi que des improvisations fougueuses et libres couvrent le vaste répertoire du groupe, complété par quelques reprises de titres d'artistes pop mythiques tels que David Bowie ou Jimi Hendrix. La force et la fermeté du groupe émergent d'un solide impact rythmique et soulignent l'origine de la musique : le groove. "Layer Cake", le plus récent opus de la Jeff Herr Corporation, est sorti en novembre 2014.

"Jeff Herr, formidable moteur d’un trio, héritier en droite ligne de celui de Sonny Rollins."Jazz News

"Le Luxembourgeois Jeff Herr, lui, sait vraiment groover, et il repose toujours sur de solides bases héritées des grands drummers modernes".  - Jazzmagazine

"Vigoureux et organique," Layer Cak" est le troisième CD de Jeff Herr. Vive dynamique et émulation dans l’impro soulignent le bel interplay entre le jeu créatif de Maxime Bender au sax et l’aplomb de Laurent Payfert à la contrebasse, autour d’une pulsation solide." - Libération

Concert réalisé avec le soutien du Ministère de la Culture de Luxembourg

Luxembourg

 

 


jeff herr
photo Marlène Soares

 

 

Stages, masterclasses et résidences :

Les stages et masterclasses proposés par Charleville Action Jazz bénéficient du financement de l'APE du CRD, de la Ville de Charleville-Mézières, de la Communauté d'agglomération Charleville-Mézières / Sedan et de  la Région Champagne-Ardenne.

Résidence 2015/2016
auprès du BIG-BAND du CRD

FRANCK TORTILLER


photo André Henrot

Deuxième année

 

Franck Tortiller :

Après des études de percussion classique au conservatoire de Dijon puis au CNSM de Paris où il obtient un premier prix à l’unanimité et un premier prix d’analyse musicale, il se dirige peu à peu vers le jazz et remporte en 1989 le  premier prix de soliste et le premier prix d’orchestre au Concours National de Jazz de La Défense.

Fondateur du festival Jazz à Couches (71) en 1986
Membre du Vienna Art Orchestra de 1993 à 2000
Directeur Artistique de l’Orchestre National de Jazz 2005-2008
Django d’Or du spectacle vivant 2007
Directeur Artistique de l’Orchestre Franck Tortiller
Directeur du département jazz au Conservatoire d’Orsay (91)
 
Actuellement en résidence en Bourgogne où il développe de nombreuses actions sur le territoire, il crée l’OJJB ainsi que de nouvelles créations en grande formation avec l’Orchestre Franck Tortiller.
Après l'enregistrement en 2012 de "Janis The Pearl", avec l'orchestre Franck Tortiller, il publie en 2014 un album solo qu'il présente lors des festivals de l'été.
Parallèlement à ses projets personnels, Franck enchaîne les collaborations régulières (Christian Muthspiel) et les participations plus ponctuelles (Orchestre Pasdeloup, Basel Sinfonietta, Orchestre symphonique de Ulm, Mike Mainieri, Dave Samuels, Sanseverino, Arthur H, Juliette Gréco...).
Consacrant également une grande partie de son travail à l’écriture, il a signé de nombreuses compositions et commandes (Radio France, Jazz sous les Pommiers, Scène Nationale L’ARC Le Creusot, Orchestre Pasdeloup ...


Masterclasse de percussions

   Samedi
 5 décembre
2015

CRD
Bijan Chemirani



photo Dominique Rieffel

 

Bijan CHEMIRANI ( Iran )

Il a appris le zarb auprès de son père Djamchid et de son frère Keyvan. Encouragés par ces derniers, il se produit très jeune en concert, accompagnant des musiciens tels que Ross Daly, Hosseim Oumoumi, Socratis Sinopoulos, Patrick Vaillant, Henri Agnel, Juan Carmona et des chanteuses comme Amina Alaoui, Parissa, Houria Aichi. Il participe également à des concerts de jazz avec Chico Freeman, Albert Mangelsdorff, Percussion Orchestra, Jean-Marc Padovani, Renaud Garcia-Fons... Parallèlement, il apprend le répertoire iranien sur le katmantché auprès de Cyrus Rangbar. En 1999, il compose la musique du documentaire de Pascal Vacelin "Le Pouvoir du FM"I pour ARTE ainsi que des musiques pour le théâtre. A 22 ans il signe "Gulistan, jardin des roses" chez "l'empreinte digitale" son premier album réalisé entre Athènes et Marseille avec la complicité de Ross Daly. Il a accompagné son frère tout au long du "Rythme de la parole" à la Fondation Royaumont.

Avec le Trio Chemirani, il parcourt le monde entier et a invité Renaud Garcia-Fons, Omar Soza, Sylvain Luc, Titi Robin...

Bijan Chemirani est aussi le percussionniste du projet "Le Silence de l'Exode", de Yom, avec lequel il s'est produit au Théâtre de Charleville-Mézières en Avril 2015.

 


Masterclasse  

samedi 17
octobre  2015
CRD
Jérôme Sabbagh Quartet


photo Vincent Soyez

Jérôme Sabbagh : saxophone ténor
Ben Monder :
guitare
Joe Martin :
contrebasse
Mark Ferber :
batterie


Le quartet de Jérôme Sabbagh, basé à New York, existe depuis dix ans et a enregistré trois disques. Le plus récent, "The Turn" (Sunnyside) a été choisi parmi les meilleurs disques de l’année 2014 par les organes de presse suivants : Boston Globe, L.A. Times, Ottawa Citizen, France Musique.
Chaque membre du groupe a une solide expérience en enseignement : Jérôme Sabbagh dirige une compagnie, Music Wizards, qui organise des interventions musicales dans les écoles et conservatoires à New York. Ben Monder a enseigné dans le département jazz du New England Conservatory (Boston). Joe Martin et Mark Ferber animent régulièrement des stages et donnent des cours particuliers. Le quartet a animé des stages au conservatoire de Belfort, à l’EDIM, à l’IMFP et dans d’autres écoles de musique, en France comme à l’étranger. Le fait que ces instrumentistes d’exception soient réunis au sein d’un groupe stable ajoute une dimension particulière à leur approche du travail en groupe.

Programme :

9h30-12h : Pratique instrumentale
Chaque membre du quartet anime séparément, par groupe d’instruments, un stage de pratique instrumentale (vents, guitare, contrebasse, batterie). Les sujets évoqués seront notamment :
- technique instrumentale
- travail de l’oreille
- travail du son
- travail du patrimoine jazz
- techniques d’improvisation
- développement d’un style personnel.
13h30 - 16h : Travail en groupe
Le quartet anime un stage sur la pratique du jazz et de l’improvisation en groupe. Les élèves sont invités à jouer dans plusieurs petites formations, de préférence des groupes formés au préalable. Les membres du quartet commentent de manière constructive et exposent leurs stratégies de travail pour la pratique du jazz en groupe.
Les sujets évoqués seront notamment:
- écoute au sein du groupe
- travail du rythme
- développement d’un répertoire : travail du patrimoine et travail de composition.

Télécharger le bulletin d'inscription en pdf

Le quartet de Jérôme Sabbagh se produira à l’Auditorium du CRD
le Jeudi 15 Octobre à 20h30

" En attendant la SMAC" 
Ce stage  vous est proposé dans le cadre des actions de préfiguration d'une Scène de Musiques Actuelles portée par la Communauté d'agglomération Charleville-Mézières / Sedan,  avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles et la Région Champagne-Ardenne.

 

Conférences

par Guillaume Kosmicki

"Petite Histoire Illustrée du Jazz "

Vendredi 29 avril 20h
Médiathèque
Georges-Delaw, Sedan

"Des origines au be-bop."
(1890-1945)

 

Samedi 30 avril 18h30
Médiathèque
Voyelles - Charleville-Mézières

"Des années 45 à nos jours."



Entrée libre.

 

Conférences

"Petite Histoire Illustrée du Jazz "
par Guillaume Kosmicki

 

Dans le cadre de la politique développée en faveur des musiques actuelles, la communauté d’agglomération Ardenne Métropole et ses médiathèques « Georges-Delaw » et « Voyelles » s’associent à Charleville Action Jazz pour vous proposer une « Petite Histoire Illustrée du Jazz », présentée en deux parties par le musicologue Guillaume Kosmicki.

Ces conférences seront suivies par un concert-jazz convivial.

Vendredi 29 avril 20 h 00
Médiathèque Georges-Delaw - Sedan


Des origines au be-bop (1890-1945) + Concert de Sunday Jazzband 3.0

Depuis le negro spiritual, le blues et le ragtime jusqu'au be-bop en passant par le jazz New-Orleans, le Chicago-jazz et le swing : un rapide parcours de ce genre déterminant qui traverse l'histoire du XXe siècle, à la base d'une multitude de styles populaires et d'influences sur la musique savante.
Parmi les artistes abordés : Louis Armstrong, Duke Ellington, Bessie Smith, Billie Holiday, Dizzy Gillespie, Charlie Parker...

Samedi 30 avril 18h30
Médiathèque Voyelles - Charleville-Mézières


De 1945 à nos jours + Concert de Francis Coche Elastic Trio
Depuis le be-bop, qui commence à révolutionner le jazz au sortir de la Seconde Guerre mondiale, jusqu'au jazz fusion le plus récent, en passant par le hard bop, le cool jazz, le jazz modal, le free jazz, le jazz rock ou le jazz funk, Guillaume Kosmicki propose un rapide parcours de ce genre déterminant pour le 20ème siècle, à la base d'une multitude de genres populaires et d'influences sur la musique savante.
Parmi les artistes abordés : Dizzy Gillespie, Charlie Parker, Thelonious Monk, Chet Baker, Dave Brubeck, Miles Davis, John Coltrane, Archie Shepp, Keith Jarrett, Herbie Hancock, Wynton Marsalis...

Guillaume Kosmicki
Enseignant-conférencier en musicologie

Né en 1974, Guillaume Kosmicki a suivi des études de musicologie à l'université d'Aix-en-Provence. Il s'est spécialisé dans les musiques électroniques, dont il a été en France un des premiers spécialistes à partir de 1995. Toutefois, loin de rester cantonné à une unique spécialité, il a toujours ouvert ses recherches vers de nombreuses autres voies, comme la musique classique et l'opéra, qu'il aborde fréquemment dans ses présentations, ou la musique savante du 20ème siècle, y compris le Jazz.
Guillaume Kosmicki habite aujourd'hui en Bretagne, mais il est chargé de cours à l'Université Paul Verlaine de Metz et à l'Université de Provence. Depuis 1998, il est enseignant-conférencier indépendant et intervient régulièrement en France pour partager le fruit de ses recherches dans de nombreux contextes (médiathèques, salles de musiques actuelles, facultés, universités du temps libre, conservatoires etc.). Il anime régulièrement des stages de formation professionnelle pour les Bibliothèques Départementales de Prêt (B.D.P.), les Centres Nationaux de la Fonction Publique Territoriale (C.N.F.P.T.) et les conservatoires. Il a enseigné la musique assistée par ordinateur au Conservatoire d'Aix-en-Provence.
À l'image de cet éclectisme dans ses sujets de prédilection, Guillaume Kosmicki joue de la musique électronique live depuis 1996 sous le nom de Tournesol, en solo ou au sein du collectif Öko System, dans lequel il est guitariste, violoniste et chanteur. Mais il est aussi violoniste classique dans l'Orchestre de Chambre de Vannes. Outre plus d'une dizaine d'articles sur les musiques électroniques et la co-direction d'un ouvrage sur le rap à Marseille, Guillaume Kosmicki a publié deux ouvrages chez "Le mot et le reste" (Musiques électroniques : "Des avant-gardes aux dance floors", 2009, et "Free party : Une histoire, des histoires", 2010), et prépare actuellement un nouveau livre sur les musiques savantes du 20ème siècle.



Cette conférence  en deux parties vous est proposée dans le cadre des actions de Musiques Actuelles portées par la Communauté d'agglomération Ardenne Métropole avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles et la Région Champagne-Ardenne.

 

 

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Programmation réalisée avec le soutien de :

 

     
     

 

 


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