tarif des entrées
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mardi 13 octobre 2009
Théâtre
Nguyên Lê Bakida Trio
Nguyên Le :
guitare
Renaud Garcia-Fons : contrebasse
Patrice Héral :
batterie
Co-production
Charleville
Action Jazz / Théâtre
plus d'infos :
le site de Nguyên Lê
musique vidéos sur le Myspace de Nguyên Lê
musique vidéos sur le Myspace de Renaud Garcia-Fons |
Nguyên Lê Bakida Trio
Nguyên Lê est un musicien magistral qui a cultivé une voix complète & unique sur l'instrument.
Il rejoint les Frisell, Scofield, Stern & Holdsworth dans le monde post-Hendrixien de la guitare de jazz.
Entre l'Orient & l'Amérique, entre les musiques traditionnelles & l'improvisation débridée, la musique de Nguyên Lê invente à tout moment des paysages nouveaux.
BAKIDA fait suite au trio "Sand" de l’album "3 Trios ": le sable des déserts qui hantent les musiciens en quête d'ailleurs. Renaud Garcia Fons et Patrice Héral sont des partenaires idéaux pour cette quête, car, outre la flamme intérieure qui les anime, ils sont à la fois ancrés dans un terre de tradition et acteurs d'une vivante modernité.
"J'aime à penser ce disque comme un banquet, où chacun des convives, après un plus ou moins long voyage, est venu converser, dans sa langue, son accent, sur le lointain et le proche, le doux et le salé... Alors, si les émotions s’accordent, des correspondances secrètes se découvrent et la musique peut devenir langage universel. Chacun des plats de ce banquet a été préparé pour chaque invité, et l'on peut ainsi goûter à quelques rencontres inattendues entre l’ Espagne, la Norvège, la Turquie, l’Amérique, le Maghreb, la Sardaigne, le Viêt-nam bien sûr. Et les mélodies se transfigurent selon celui qui l'interprète."
BAKIDA n'est pas un travail sur une culture spécifique, comme l’étaient Tales from Viêt-nam ou Maghreb & Friends, mais plutôt une synthèse d’expériences & d’émotions, un geste de rassemblement d’influences et de désirs.
Puissent toutes ces couleurs, accents et épices se marier en une voix une et sincère, comme un milieu parmi le flot des cultures : Occident & Orient - du milieu à l’extrême, Sud et Nord - vibrant et magnétique.
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photo Jean Ber
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Colin Vallon Trio
Emmené par le pianiste Colin Vallon, ce trio est une des formations les plus prometteuses actuellement.
Fondé en 1999, il n’a eu de cesse de développer un son d’ensemble original qui se distingue de la tradition du trio jazz. Ce trio privilégie une grande liberté dans l’improvisation tout en explorant des concepts musicaux novateurs.
Jouant sur des registres d’énergie très contrastés, les compositions de Colin Vallon, qui forment l’intégralité du répertoire du Colin Vallon trio, ont un caractère très personnel et riche d’émotions.
Avec une forme souvent minimaliste qui laisse un grand espace à l’improvisation et à l’interprétation, chacune d’elle décrit une ambiance particulière, un sentiment profond, à la manière des haïkus de la poésie japonaise.
“II se passe à I' évidence de belles choses chez les pianistes de I'autre côté des Alpes. A côté de Malcolm Braff (avec qui joue d'ailleurs Ie superbe batteur Samuel Rohrer) et de Nik Bärtsch récemment entendu chez ECM, Colin Vallon fait partie de la même mouvance. Celle d'une génération qui succède à Svensson et dont la culture va de The Cure à Björk. Comme eux, Colin Vallon recherche les espaces et les colorise. Qu'il joue avec les sons du piano préparé ou d'une machinerie deglinguée (Robots), qu'il sonne comme un piano désaccordé (Souris), qu'il joue avec les rythmiques impaires (Trendke Todorke) ou qu'il déstructure Ie binaire (Zombie), Ie trio se fait expressionniste sans priver l'auditeur de son pouvoir d'imaginaire, évitant les clichés du minimalisme. les interventions de Pat Moret sont remarquables et l'on découvre un bassiste exceptionnel évoquant parfois Charlie Haden. "
Jazzman
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photo Betz Segev
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Christophe Marguet Quartet
Parallèlement à une carrière de batteur qui l'a amené à jouer avec les plus grands, et à des collaborations régulières avec Eric Watson, Henri Texier, Joachim Kühn, Jean-Marc Foltz, Claude Tchamitchian, Yves Rousseau, Christophe Marguet fonde en 1993 son propre trio, avec Sébastien TEXIER et Olivier SENS, et remporte en 1995, le premier prix d’orchestre au concours de la Défense, ainsi que le premier prix de composition.
Il reçoit le « DJANGO D’OR » (Révélation Espoir Français) et est nommé « TALENTS JAZZ 1998 » (Adami) pour son premier disque en trio " Résistance poétique".
Il reprend ce nom pour qualifier son nouveau projet en quartet, avec lequel il enregistre en son cinquième album en leader. (Choc Jazzman de l'année 2008)
Cet orchestre est le reflet d’une entente et d’une complicité intense. Une forte volonté rassemble les musiciens, celle d’échanger et de partager une musique d’aujourd’hui à travers laquelle le jazz résonne à plein poumon.
Fruit d’un long travail de maturation, c’est aussi un acte engagé, essentiel et vital, clamant haut et fort avec dignité un chant résistant et poétique.
"Marguet assume totalement sa position de Leader-batteur en dosant la part du rythmicien et celle du mélodiste pour mieux conduire la musique vers la beauté."
Jazzman Sylvain Siclier
"Christophe Marguet réussi un coup double : renforcer la densité instrumentale et affirmer une vocation prometteuse à l’écriture orchestrale."
Jazz magazine Robert Latxague
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photo Eric Garault
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Emile Parisien Quartet
Le quartet d'Emile Parisien est certainement l'une des formations émergeantes les plus excitantes du moment.
Depuis 2004, ces jeunes musiciens étonnent par leur fougue et leur maturité. Leurs prestations remarquées lors d'importants festivals (Marciac, Toulouse, Bayonne, Limoges, Châteauvallon…) et dans différents clubs parisiens (Duc des Lombards, Sunset, La Fontaine…) ont suscité l'intérêt du public comme de la critique, conquis par la complicité, l'engagement et l'énergie dont ils font preuve sur scène.
« Avec eux, l'originalité ne se pare pas d'artifice, ni de bluff, mais surgit d'une exploration intense d'univers musicaux qui nous sont familiers : ceux de Coltrane et de Wayne Shorter, bien sûr, mais aussi ceux d'Hector Berlioz, d'Igor Stravinski ou d'Arnold Schoenberg.
Si la relecture de cet héritage musical se révèle aussi passionnante, c'est d'abord par le sens de l'implication et la rigueur artistique inconditionnelle qui animent ces quatre musiciens. Chaque note, chaque mesure, est exécutée avec la force d'expression de ceux qui brûlent de nous transmettre la foi qui les anime. Ces instrumentistes parlent d'une seule voix, et jamais leur virtuosité de soliste, qui est pourtant époustouflante, ne vient distraire l'auditeur du cours émotionnel de compositions pour la plupart collectives.» Damien Bertrand
La sortie de leur premier disque "Au revoir porc-épic" (Laborie Jazz 2006), a reçu un très bel accueil et a été suivie de nombreux concerts.
Le second album "Original Pimpant" , sorti au printemps 2009, confirme que l'on est bien en présence d'une voix forte : ce quartet donne un caractère expressionniste à sa musique, où prime l’improvisation. Repoussant les limites du concret, le groupe atteint grâce à la complicité des musiciens une expression très personnelle et résolument moderne.
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photo Gala Reverdy
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mardi 2 Février 2010
Auditorium ENMD
Eric Löhrer Quartet
Eric Löhrer : guitare
Jean-Charles Richard :
saxophone soprano
Eric Surmenian : contrebasse
Patrick Goraguer : batterie.
plus d'infos :
Musique et vidéo sur le myspace d'Eric Lohrer
lire la chronique sur Citizenjazz |
Eric Löhrer Quartet
"Dans l'armée française des guitaristes (de Django à Sylvain Luc, on n'est pas des manches), Eric Löhrer est un voltigeur discret.
Né en 1965, il a publié à 23 ans un premier disque, salué par la critique. Puis il a attendu son heure. On le signalait dans des entreprises atypiques, comme Olympic Gramofon ou Open Air.
Il y a dix ans, on crut son heure venue avec un disque en solo tout à fait gonflé, sur des thèmes de Thelonious Monk. Mais il prit encore son temps, officiant aussi dans la chanson, derrière Jeanne Cherhal, ou dans des groupes qui balancent du rock dans le jazz (Julien Lourau, par exemple, où il mit du feu).
Le voilà revenu en quartet tout à fait original, avec un saxophoniste, Jean-Charles Richard, dont on a signalé déjà l'excellence
instrumentale proprement stupéfiante (ici au soprano), un contre
bassiste dont on se souviendra, Eric Surmenian, à la justesse
parfaite, et un batteur, Patrick Goraguer, qui a des délicatesses
de pianiste.
La plupart des compositions sont d'Eric Löhrer, elles
ont du corps, de la lumière aussi. Il y en a une de Jean-Charles
Richard, Moons, qui irradie, une autre, de Thomas Bramerie,
My love, qui vous pénètre sous la peau, et le disque se termine
avec un India de John Coltrane qui emmène dans une Inde
fantasmée. Le tout comporte un sérieux danger : il peut intoxiquer. Sélène Song, qui donne son titre à l'album, s'insinue dans la
mémoire comme un rêve persistant de bonheur d'enfance."
Michel Contat Telerama mars 2008
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photo Mac Abel
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jeudi 11 Mars 2010
Auditorium ENMD
Daniel Erdmann
Francis Lebras
(IAllemagne/France)
Francis Lebras :
piano, Fender Rhodes
Daniel Erdmann :
ténor saxophone
en savoir plus :
le site de Daniel Erdmann/Francis Lebras
lire la chronique sur Citizenjazz
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Daniel Erdmann + Francis Le Bras
Le duo est la formule idéale pour mettre en avant la rencontre et la complicité de deux instrumentistes-improvisateurs. Mais c’est aussi une formule sans filet, qui ne peut fonctionner sans la confiance mutuelle que se portent les deux partenaires.
L’association du saxophoniste Daniel Erdmann et du pianiste Francis Le Bras est le croisement et l'addition de deux univers, l’harmonie et la mélodie, de deux conceptions de la musique et de l’improvisation.
La liberté artistique, posée comme principe de cette rencontre, permet aux deux histoires contées ici de se dérouler en parallèle, pour se rejoindre au moment opportun.
"Ah, la belle surprise ! Honte sur nous : on ne connaissait ni Erdmann, saxophoniste ténor berlinois, ni Le Bras, claviériste rémois (piano et fender rhodes). On ne les oubliera plus. Rien de plus casse-gueule que le duo, mais chez ces deux-là, toujours en parfaite osmose, les (remarquables) compositions, méticuleusement agencées, qui leur servent de pistes d’envol ne limitent jamais, bien au contraire, le plaisir du jeu ouvert. Rigueur ntellectuelle et sensualité (Erdmann possède un son superbe – et ça chante !) : on ne s’en lasse pas !"
Bernard Loupias Le Nouvel Observateur
" Ceux-là s'écoutent à tout instant, se répondant l'un l'autre, questionnant tout autant leur propre identité en un dialogue fondé sur l'entente mutuelle. Ce qui, à la lettre près, constitue l'une des définitions admises du jazz actuel."
Jacques Denis Jazzman
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photo Alain Julien |
samedi 24 Avril 2010
Théâtre
Charleville Action Jazz fête ses 20 ans!
co-production CAJ / Théâtre
Henri Texier
Strada Sextet
Henri Texier : contrebasse
Sébastien TEXIER :
sax alto / clarinettes
François CORNELOUP :
sax-baryton/ soprano
Francesco Bearzatti : clarinette, saxophone
Manu CODJIA : guitare
Christophe MARGUET : batterie
+ première partie :
Isabelle Olivier
Youn Sun Nah
DUO
Youn Sun Nah : chant
Isabelle Olivier : harpe
écoutez Youn Sun Nah sur myspace
lire la chronique sur Citizenjazz
Plus d'infos :
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Henri Texier Strada Sextet
Henri Texier, contrebassiste qui a joué avec les plus grands noms du jazz (américain et européen ), se consacre depuis quelques décennies à des formations personnelles. Il a enregistré 18 albums en leader.
Véritable découvreur de talents, il a toujours su intégrer dans ses groupes des solistes qui possèdent de grandes qualités musicales : élégance, swing, invention, ouverture d’esprit, mais également beaucoup de connaissance et de maîtrise.
Ce sont des compagnons qui correspondent parfaitement à l’idéal musical d’Henri TEXIER : multiplicité des rythmes, sensibilité harmonique, profondeur mélodique. Avec eux, il peut explorer toutes les contrées du JAZZ en toute sérénité et toute liberté.
Henri Texier a une absolue confiance en l’avenir. Il le prouve une fois de plus en ouvrant grand les portes de son expérience au jeune guitariste tous terrains Manu Codja, aux tambours de Christophe Marguet ou à la fougue du trombone de G. Kornazov. A la manière d’un Mingus, le contrebassiste breton compose pour sa section de cuivres comme un dompteur nourrit ses fauves : tendrement mais sauvagement…La rythmique est là pour soutenir, coûte que coûte, par tous les vents, malgré les accidents de parcours. Ne vous y fiez pas : chez Texier,les coups de tonnerre sortent bien souvent de sa contrebasse...
"Le contrebassiste s’est entouré de musiciens migrateurs ayant comme lui le sens de l’errance immobile. Ils nous délivrent une
musique qui pour finir trouve son territoire: celui de l’imaginaire et de la nostalgie, celui de la mémoire en somme. Tout y
est: l’expression, le lyrisme, la fougue, la virtuosité." Jazz magazine
Isabelle Olivier /
Youn Sun Nah DUO
Lors d'une résidence à l' Opéra de Lyon en 2007, la harpiste Isabelle Olivier propose différentes formations, dont une rencontre avec la chanteuse coréenne Youn Sun Nah, le contrebassiste Michel Bénita et le batteur américain Peter Erskine .
La magie opère entre les deux femmes, la fusion entre leurs univers est telle qu'elles décident de poursuivre l'aventure en duo.
Leur talent exceptionnel, leur forte présence sur scène et l'originalité incontestable de leur démarche provoquent sans réserves l'adhésion d'un public conquis par la formule inattendue de ce duo hors-normes.
"Entre les notes et le silence, l'harmonie et la dissonance, la pureté et l'artifice, le coeur d'Isabelle Olivier ne cesse ainsi de balancer. Cette gracieuse indécision donne toute sa richesse à une musique expressive et narrative, qui parvient finalement à être rassembleuse sans être bassement consensuelle" Richard Robert - Les Inrockuptibles
"Avec sa voix de mezzo au timbre lumineux, avec ce sens si personnel de l'intimité, de l'épure et du dépouillement, avec cet art très érotique du crescendo, Youn Sun Nah sème le trouble et invente l'inouï. .... Voilà bien longtemps qu'une chanteuse ne nous avait autant enchanté."
Pascal Anquetil - Télérama
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photos Christian Deblanc/ Patrick Audoux
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jeudi 20 Mai 2010
Auditorium ENMD
Elina Duni Quartet
(Albanie / Suisse)
Elina Duni : chant
Colin Vallon : piano
Bänz Oester : contrebasse
Norbert Pfammatte : batterie
plus d'infos :
le site d'Elina Duni
Ecoutez Elina Duni sur Myspace
Vidéos de Elina Duni sur Youtube |
Elina Duni Quartet
Les couleurs somptueuses de la capitale albanaise Tirana se retrouvent dans la grande richesse expressive et émotive de la langue du pays, pour la plupart d’entre nous un monde inconnu et mystérieux. C’est ce pays qu’Elina Duni sait chanter, dans tous les sens du terme. Originaire d’Albanie, elle puise du riche folklore albanais des chants saisissants, dont l’ivresse sensuelle ne nous quitte plus, même si nous n’en comprenons pas les paroles. La formule bien connue d’une chanteuse accompagnée d’un simple trio est parfaitement déjouée ; autrement dit, il s’agit d’un véritable Quartet, formé de musiciens s’impliquant tous à valeur égale. Le pianiste Colin Vallon, le bassiste Bänz Oester et le batteur Norbert Pfammatter, qui gardent avec talent la retenue nécessaire, et savent à l’occasion prendre les devants et exprimer brillamment leur propre passion. Nous sommes pris par la magnifique complicité de ces quatre musiciens dans l’art de créer une ambiance à la fois mélancolique et euphorique, faite d’accords, de sons et d’images, possédant un énorme pouvoir de suggestion auquel nul ne peut échapper.
Le résultat est un melting-pot qui semble plus que naturel. Il est composé de mélodies traditionnelles incluant des mesures impaires de son pays d’origine et des pays avoisinants, de chansons françaises de Gainsbourg & Ferré, de ce bijou de jazz qu’est « Solitary Moon » interprété pour la première fois par Shirley Horn, ainsi que des passages associés librement qui nous rappellent les exportations vocales de la Norvège.
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photo Anja Tanner |
samedi 29 Mai 2010
15h00
Amphithéâtre
Pierre Mendes-France
SEDAN
(entrée libre)
Mathilde Renault /
Jonas Knutsson
Duo
(Belgique / Suède )
Mathilde Renault :
piano, voix, compositions
Jonas Knutsson :
saxophones soprano et baryton
organisation Médiathèque de Sedan/
Charleville Action Jazz
Ecoutez Mathilde Renault/Jonas Knutsson
sur Myspace
plus d'infos :
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Mathilde Renault / Jonas Knutsson
Duo
Mathilde Renault est issue d’une famille de musiciens bien
connus des milieux jazz et latins de Belgique. Déjà, dés l’enfance
elle compose en autodidacte mais la fréquentation de grands
musiciens du monde lui apporte la sensibilité et la technique qui
fait, aujourd’hui, de Mathilde une des artistes des plus
prometteuses de la scène belge de musique actuelle.
Jonas Knutsson est considéré comme l’un des plus grands
saxophonistes actuellement dans le monde du jazz et de la
world music. Ses explorations musicales vont des musiques
traditionnelles indiennes, brésiliennes et nordiques jusqu’au
jazz.
Il a acquis une expressivité puissante et un son unique.
Jonas Knutsson s'est produit de nombreuses fois dans la cadre de la programmation de Charleville Action Jazz, pour le plus grand bonheur d'un public conquis et fidèle.
Mathilde et Jonas se rencontrent à Stockholm où Jonas poursuit une brillante carrière internationale et enseigne : Mathilde a composé pour lui « In a Sweedish mood » et désirant le lui faire entendre, elle prend l’avion pour la Suède!
L’audace et le talent de notre jeune compositrice conquièrent Jonas. Ils deviennent aussitôt complices, à travers une musique originale, riche d’émotions, jazzante ou classique, un peu folk voire même avec des accents brésiliens, Mathilde ajoutant parfois à son piano et aux saxophones de Jonas un chant ensoleillé.
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photo Constant Dupuis |
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