tarif des entrées
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Samedi 1 octobre :
Salle Éthiopienne
Mairie
21h/23h/01h
Trio Francis Coché
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performance du peintre Philippe Marie
Dans le cadre de la
Nuit Blanche
organisée par la Ville de Charleville-Mézières
Francis Coché :
saxophone
Michel Gaspard :
guitare
Alain Belot :
basse
Philippe Marie :
couleurs
plus d'infos : |
Trio Francis Coché
Trois musiciens de la scène locale, omniprésents à Charleville-Mézières depuis des années, proposent une relecture toute en finesse de morceaux plus ou moins connus du répertoire.
Pour cette manifestation, leur musique inspirrera le peintre plasticien Philippe Marie qui réalisera en direct une performance.
Ce n'est pas la première fois que Philippe Marie et le Trio de Francis Coché s'associent, puisque nous les avions déjà sollicités pour le vernissage de l'exposyion Jazz Arts organisée à la Vitrine du Département à l'occasion du vingtième anniversaire de Charleville Action Jazz.
Le temps dont disposait le peintre était limité dans ce contexte particulier, malgré tout l'oeuvre de Philippe Marie avait impressionné le public. Il aura cette fois l'occasion de travailler un peu moins dans l'urgence, et les musiciens du Trio de Francis Coché pourront eux aussi donner la pleine mesure de leur talent.
Le concert - performance se déroulera en trois fois, soit trois périodes d'environ 30mn, programmées à 21h, 23h et 01h, ce qui permettra au public de prendre part à d'autres manifestations de la Nuit Blanche, et à Philippe Marie de participer au projet "Arcadéus ", programmé en alternance au Musée de l'Ardenne.
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photos Michel Renaux
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Mardi 11 octobre 2011
Auditorium CRD
Pascal Schumacher
Quartet
Pascal Schumacher :
vibraphone
Franz Von Chossy :
piano
Christophe Devisscher :
contrebasse
Jens Düppe :
batterie
plus d'infos :
lire l'article sur DNA |
Pascal Schumacher Quartet
A peine trentenaire et déjà fort d’une incroyable carrière au Benelux, le vibraphoniste luxembourgeois Pascal Schumacher compte parmi les plus belles révélations du jazz européen. Au sein de son quartet (5 albums déja !), ou en duo avec le pianiste Jef Neve (avec qui il a enregistré l’album "Face To Face" en 2010), il développe un répertoire d’un lyrisme et d’une modernité qui séduisent immédiatement.
« De formation classique (il est passé par la fameuse classe de percussions du Conservatoire de Strasbourg), le Luxembourgeois Pascal Schumacher sait faire sonner l’instrument à sa manière, en tirant le meilleur parti de cette vibration caractéristique, de ce halo de mystère scintillant qui nimbe chaque tintement des mailloches sur les lames métalliques. Tout en s’inscrivant dans la lignée de Gary Burton, il a aussi su développer une musique personnelle et originale, grâce à un quartet particulièrement soudé.
Les enregistrements du quartet témoignent d’une esthétique très contemporaine, qui doit autant au minimalisme répétitif de Steve Reich (dont Schumacher a interprété les œuvres par le passé) qu’à une certaine pop d’aujourd’hui… Bien qu’il n’y ait pas de chanteur et que la quasi-totalité du répertoire soit signée des différents membres du groupe, il y a là quelque chose qui fait parfois songer à Radiohead : une certaine mélancolie assumée sur fond de rythmiques obsédantes, plus binaires que swinguantes, mais non moins complexes, et aussi un même intérêt pour les musiques électroniques créatives, dont les musiciens (et en particulier le batteur) parviennent habilement à reproduire les effets avec des moyens essentiellement acoustiques.
Pascal Schumacher animera une masterclasse à destination des élèves la classe de percussions du CRD le samedi 15 octobre
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photo Boris Brauer
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Samedi 5 novembre
Jean-Marie Machado "Danzas"
"La fête à Boby"
Théâtre
co-production CAJ/Théâtre
Jean-Marie Machado :
piano, compositions, arrangements
André Minvielle : chant
Jean-Charles Richard : saxophones
Gueorgui Kornazov: trombone
Joce Mienniel : flûte
Jérémie Dufort : tuba
Didier Ithursarry : accordéon
François Merville : percussions
Jean-Marc Quillet : vibraphone
Gilles Olivesi
et Boris Darley :
régie son
Guillaume Tesson :
régie lumière
Francine Vidal :
scénographie
Réservations :Théâtre
tel : 03 24 32 44 50
en savoir plus : |
photo Cecil Mathieu
Jean-Marie Machado "Danzas" .Si l’on a tendance à reconnaître en Boby Lapointe un magicien des mots et de leur agencement,
rares sont ceux à avoir su entendre l’originalité de ses mélodies et de ses talents d’interprète,
fondus en une sorte de flot syllabique à la fois chaotique et monocorde parfaitement singulier.
C’est à « la petite musique » très particulière de ce poète à la fois drolatique et paradoxalement
profond dans sa façon de fonder principalement son style sur des jeux de surface, tout en
glissements de sens et miroitements sonores, que le pianiste et compositeur Jean-Marie
Machado a décidé de rendre hommage dans ce nouveau spectacle intitulé avec tendresse « La
Fête à Boby ».
Passé maître dans ces projets hybrides aux orchestrations souvent ambitieuses, mettant en
relation des cultures et des traditions éloignées, Machado a ici invité à se joindre à son grand
orchestre DANZAS crée à l’occasion du spectacle Fiesta Nocturna, l’une des personnalités les
plus délicieusement « plurielles » de la scène hexagonale : le chanteur, scatteur, slameur et
rappeur occitan, André Minvielle. ( victoire du jazz vocal 2009 )
Mêlant aux principaux succès de Lapointe somptueusement
réarrangés une série de chansons et de compositions originales directement inspirées par son
univers loufoque, Machado et Minvielle inventent au final un « tour de chant » d’un genre
nouveau, à la fois théâtral, poétique et ludique -offrant à travers cet hommage une inespérée
seconde jeunesse à l’oeuvre authentiquement novatrice d ‘un des auteurs, compositeurs et
interprètes les plus sous estimés de la chanson française d’après-guerre.
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Jeudi 8 décembre
Arnault Cuisinier Quartet
Auditorium CRD
Arnault Cuisinier :
contrebasse / compositions
Guillaume De Chassy :
piano
Jean-Charles Richard :
saxophones
Fabrice Moreau :
batterie
en savoir plus :
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Arnault Cuisinier Quartet
Musicien poète et compositeur aguerri, il est doté d’un son précis, d’une grande stabilité rythmique et d’une approche très lyrique de la musique. Quel plaisir de le découvrir pour la première fois en tant que leader ! Composé de musiciens de premier ordre, ce quartet révèle les personnalités musicales de chacun qui se complètent pour forger une identité sonore au groupe.
C'est au début de l'année 2008 qu'il crée son quartet « FERVENT », composé de Guillaume de Chassy (piano), Jean-Charles Richard (Saxophones) et Fabrice Moreau (batterie). Un disque constitué de ses compositions personnelles vient d'être réalisé sur le Label La Borie Jazz, sorti en Avril 2010.
"Conçues comme autant de courts-métrages habilement scénarisés, les compositions d’Arnault nous ont emmenés dans des mondes poétiques où se croisent ses influences musicales, littéraires, picturales et cinématographiques. Tels des voyageurs immobiles, nous avons parcouru ensemble toute une géographie intime. Gageons que l’auditeur de ce disque y vagabondera avec le même plaisir que nous…"
Guillaume de Chassy, juillet 2009.
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photo Gala
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Mardi 24 janvier
Frédéric Borey "Lines" Quartet
Auditorium CRD
Frédéric BOREY :
saxophones & compositions
Camélia Ben Naceur :
piano
Nolwenn Leizour :
contrebasse
Stefano Lucchini :
batterie
le site de Frédéric Borey
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Frédéric Borey "Lines"
La force principale de la musique de Fred Borey tient à son attachement à des choses fondamentales mais trop souvent négligées : la beauté du son, le développement d'idées mélodiques originales et le sens de l'espace. Au sein d'un groupe particulièrement soudé, Fred Borey fait entendre sa propre voix et développe avec talent des compositions inventives.
"Lines " est le quatrième album du saxophoniste . : Des compositions particulièrement bien ciselées en sont le premier attrait, notamment avec des références à la musique du XXe siècle et en particulier Kodaly dont on se lasse pas. La sonorité de Frédéric Borey est le deuxième attrait de cet enregistrement. Ronde et claire, nuancée, elle s’impose en douceur, sans éclats bruyants ni artifices. Très aboutie, elle délivre avec précision des phrases d’une grande justesse qui ne manquent pas de séduire. Avec ce disque, Frédéric Borey démontre qu’il possède un style véritable, du goût et des idées.
„ Frédéric Borey (remarquables qualités d'intonation), et son identité résolument ''européenne''...une équipe qui ne manquera pas d'étonner ceux qui pensent qu'un soliste français ne peut sérieusement jouer que s'il est accompagné par des ''brutes américaines''. Les musiciens, accompagnateurs attentifs et délicats, sont manifestement des amoureux, à l'image de Frédéric Borey, de la précision, de la nuance, et de la phrase belle et juste.“
Eric Quenot -JAZZMAG/MAN – mai 2010
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photo Simon Duval
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Mardi 21 Février
Shezar
Auditorium CRD
Hassan Abdalrahman :
oud, chant, compositions
Kjetil Selvik :
clarinettes, compositions
Nicolas Beck : contrebasse, tarhu
Fabien Guyot : percussions
en savoir plus :
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SHEZAR
.. Un univers onirique, dans un ailleurs perdu au bord du Tigre, du Jourdain, du Danube ou de la Méditerranée… Shezar est le fruit de la rencontre de quatre musiciens venus de différents horizons : de Syrie, de France et de Norvège.
Une musique inspirée, à la fois riche et vaporeuse,dans une atmosphère particulière où les mélodies, à la fois simples et évocatrices, sont soutenues par une rythmique jouant sur la finesse des musiques venues d’orient.
"… Un album acoustique, une musique inspirée, à la fois riche et vaporeuse, fruit de la rencontre de quatre musiciens venus de différents horizons, de Norvège, de France et de Syrie. Des sensibilités croisées, non pas fusionnées mais savamment entremêlées dans des arabesques de jazz, de daf et de sax, de oud et de clarinette, de contrebasse et de zarb. Un très joli mirage."
Yasrine Mouaatarif -Mondomix
"Les formations de jazz oriental se multiplient ces dernières années, est-ce un signe des temps? Un peu de la douceur et de la langueur orientales, pour apaiser nos âmes en ce début de 3° millénaire à l’actualité tellement agitée?.... Un album qui vous ressourcera et vous apaisera à coup sûr..."
Nadia Khouri-Dagher -Babel Med
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photo Klara Beck .
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Mardi 20 Mars
Auditorium CRD
Thomas Savy Trio
Thomas Savy :
clarinette basse
Stéphane Kerecki :
contrebasse
Fabrice Moreau :
batterie
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Thomas Savy Trio
Après Archipel, un premier album très remarqué (Choc Jazzman, Disque d’émoi Jazz magazine, Must TSF, FFFF Télérama), Thomas Savy est retourné en studio en juin 2009 avec sa clarinette basse et ses compositions enregistrer French Suite en compagnie de Bill Stewart et Scott Colley, au légendaire studio New Yorkais « Systems Two ». La rencontre avec ces deux prestigieux musiciens qu’il ne connaissait qu’au travers de leurs enregistrements et de leurs concerts était une sorte de pari. Il en résulte un disque plein d’énergie et de contrastes, sensuel et poétique, pour lequel le bassiste et le batteur se sont totalement impliqués au même titre que ce nouveau grand leader, Thomas Savy.
Thomas Savy transfigure son instrument et l’affranchit de ses limites, en explorant toute la tessiture et la palette des couleurs et des nuances dans l’écriture comme dans l’improvisation. La grande classe.
"... Cette beauté-là est virile sans être macho, intelligente sans être arrogante, profondément fraternelle. Trois musiciens qui s'écoutent, se lancent avec feu des défis, les relèvent avec une présence d'esprit époustouflante..." Michel Contat - Télérama
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photo Patrick Lavabre
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Mardi 17 avril
Carla Bley Trio
(USA)
Théâtre
Carla Bley :
piano
Andy Sheppard :
saxophones
Steve Swallow :
basse
co-production CAJ/Théâtre
Réservations :Théâtre
tel : 03 24 32 44 50
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Carla Bley Trio
Figure essentielle de la scène musicale depuis quatre décennies, Carla Bley a su imposer un style et marquer l'histoire du jazz. Accompagnée de ses fidèles complices Steve Swallow et Andy Sheppard, la pianiste propose un jazz subtil dans le cadre intimiste du trio.
Carla Bley, l'une des rares femmes qui ne soit pas chanteuse à atteindre ce haut degré de notoriété dans le jazz, est la digne descendante de Charles Mingus et Gil Evans. Peut-être parce qu'autodidacte, elle a su préserver sa patte de compositrice, orfèvre en harmonie, en tableaux sonores, en ruptures. Ses compositions mêlent les musiques les plus diverses : le jazz dans toute son amplitude, du dixieland jusqu'au free, les musiques du monde, les musiques populaires façon Kurt Weill, la musique classique, et bien sûr le rock, la pop, le funk, le rythmn and blues.
Carla Bley, c'est un univers protéiforme, complexe, savant, extraverti, des rythmiques solides et des cuivres fastueux.
Compagnon de route depuis des années, du duo au Big-band, Steve Swallow tisse des grooves solides et soyeux, et fait preuve d'un grand sens mélodique lorsqu'il joue fait sonner sa basse électrique comme une guitare acoustique.
Considéré par la presse britannique comme le meilleur saxophoniste anglais, Andy Sheppard, très inspiré, déroule des chorus captivants dans chaque morceau.
Avec Sheppard et Swallow, Carla Bley fait fi de tout déballage technique et installe des ponctuations discrètes ou des motifs obsédants. Ses thèmes minimalistes, son écriture subversive, ses inventions orchestrales, son art de composer et d’arranger ont marqué l’histoire du jazz et sa présence reste indispensable dans le jazz contemporain.
> «Cela brille de précision, d’intelligence. Une des plus belles incarnations du jazz savant.»
> Le Figaro
> «Carla Bley, l’inégalée, toujours drôle, toujours sérieuse, et toujours musicienne d’abord.»
> Télérama
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photo Klaus Muempfer
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Jeudi 24 Mai
Daniel Guggenheim
New-York Quartet
(CH/USA)
Auditorium C.R.D
Daniel Guggenheim :
saxophone ténor et soprano
Devin Gray :
batterie
Sean Smith :
contrebasse
Peter Madsen :
piano
en savoir plus : |
Daniel Guggenheim
New-York Quartet
Né en Suisse en 1954, Daniel Guggenheim a enregistré son premier album en 1980 a séjourné longuement à Rio avec Hermeto Pascoal, et a travaillé à N-Y avec Elvin Jones, Richie Beirach ou Roy Hargrove, ça se passe de commentaires.
Pour ce « New-York Quartet », il s’est entouré du pianiste Peter Madsen , complice de longue date rencontré aux USA, et d’une section rythmique de haut vol (Sean Smith et Gerald Cleaver). Il y a indiscutablement une base coltranienne à ce projet, quelque chose de Liebman aussi, période Quest, mais il y a surtout un merveilleux saxophoniste (ténor, soprano), également compositeur de fort beaux thèmes.
Après des années de voyages et de recherche d’une identité musicale, parsemées de nombreux enregistrements Daniel Guggenheim a appris à exprimer ses expériences en privilégiant l’interaction avec des partenaires musiciens avec qui il partage un goût pour la liberté, basée sur un respect pour la tradition.
« C’est un jazz tout droit sorti du coeur, qui n’a pas peur “de s’y frotter”. J’en veux pour magnifiques preuves "Lament "(la plainte) et "Takes" qui sont les deux piliers musicaux du disque… L’autre visage de cet enregistrement, ce sont les morceaux joués up-tempo. Ils ne sont pas sans nous rappeler une opulence à la Tyner-Rollins. Quant aux passages free-jazz et blues, pourtant empreints de gravité, ils nous semblent légers, faciles et fluides….
Ce CD, "Traces of ... ", c’est le groove, chaque note y swingue avec une sophistication investie de magie et de poésie. »
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photo x
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Vendredi 1er juin 2012
Daniel Willem Quartet
Amphithéâtre
Pierre Mendes-France
SEDAN
(entrée libre)
Dabiel Willem :
violon
Popso Weiss :
guitare
Tchavo Berger :
accordéon
Patrick Willem :
contrebasse
co-production
Médiathèque de Sedan/CAJ
en partenariat avec le
Gaume Jazz Festival
Entrée libre
plus d'infos :
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Daniel Willem Quartet
L’univers musical de Daniel Willem invite à un voyage à travers le jazz manouche, la musique tsigane et le blues. Un monde coloré et personnel, tout en nuances et en climats harmoniques.
Son coup d’archet immédiatement reconnaissable, expressif et sensible, rythmique et électrique, fait de lui l’un des violonistes de jazz manouche les plus créatifs du moment. Avec Daniel Willem (violon), Popso Weiss (guitare et chant), Tchavo Berger (accordéon et chant), Patrick Willem (contrebasse).
Après avoir joué dans des groupes folk et jazz-rock dans les années 70, Daniel Willem s’envole pour les Etats-Unis, et c’est à Los Angeles, avec Jean-Luc Ponty qu’il découvre les possibilités créatives du violon électrique.
En 1980, il se produit avec le batteur américain Art Blackey, au célèbre Village Vanguard de New York.
A son retour des USA il monte des groupes de jazz-rock, fusion et latin, jouant avec la plupart des musiciens de jazz belges, et travaille aux Etats-Unis et au Canada, à Bruxelles, Paris, Londres ...
Daniel Willem, depuis le début de sa carrière a effectué, pour lui-même, et également pour de nombreux artistes, un nombre impressionnant de concerts et de sessions de studio dans le monde entier, en tant que violoniste, mandoliniste, claviériste, organiste, guitariste, compositeur, arrangeur, ingénieur du son, réalisateur et producteur.
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Photos : F.Malcorps
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